mier gaz éloignent les rayons caloriques. On mira pareillement
Ces deux équations, multipliées respectivement par et donnent en les ajoutant
Le premier membre de cette équation est la pression du mélange à la température La fonction serait, par ce qui précède, la pression du premier gaz, s’il existait seul dans l’enveloppe ; et serait la pression du second gaz s’il était seul. En nommant donc et ces pressions, on aura
Il est facile de voir que la pression d’un nombre quelconque de gaz, dont les pressions partielles seraient sera
ce qui est donné par l’expérience.
Cette équation ayant lieu, quelle que soit elle subsistera en faisant, comme M. Dalton, nul, c’est-à-dire en supposant nulle l’action révulsive réciproque de deux gaz différents. Mais cette hypothèse est bien peu naturelle : elle me paraît d’ailleurs contraire à plusieurs phénomènes.
L’équation (3) donne pour un même gaz
Si l’on nomme et les volumes du gaz aux températures et on aura par conséquent,
En supposant constant ou sera proportionnel à la