étant une quantité qui ne varie que par la variation très petite de la position de l’étoile. On a, en négligeant le carré de l’excentricité de l’orbite, et en négligeant les variations de la position de l’étoile,
La formule (X) donnera ainsi, en ne considérant que les termes multipliés par l’arc et en supposant ce qui revient à très peu près à prendre pour unité de masse celle du Soleil,
La formule (Y) donnera
étant égal au moyen mouvement plus à des quantités périodiques, ne doit contenir que ces dernières quantités, ce qui donne
d’où résulte
Déterminons présentement au moyen de l’équation (Z). On peut faire ici
étant l’inclinaison, supposée très petite, de l’orbite à un plan fixe, et étant la longitude de son nœud ascendant sur ce plan. On a, à fort