relativement à la figure d’une goutte de mercure, que l’on a
étant une quantité dépendant de l’aHraction moléculaire du mercure sur lui-même. J’ai conclu d’un grand nombre d’expériences de Gay-Lussac :
Cela posé, les deux effets capillaires du baromètre dont je viens de parler se détruiront mutuellement si l’on fait égal à la dépression du mercure dans le baromètre, produite par sa capillarité, dépression donnée par le diamètre intérieur du tube. La valeur de donnera l’angle et cet angle donnera ou la distance à laquelle il faut placer la pointe de la cuvette. Et M. Bouvard a formé, d’après ces formules, une Table qu’il doit publier dans ce Volume.