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En divisant par la somme de ces deux nombres, on aura pour le nombre moyen des baptêmes annuels, ce qui donne nous supposerons de plus Au moyen de ces valeurs on déterminera celle de par l’équation (1) ; on déterminera ensuite la valeur de par l’équation (3) ; enfin l’équation (2) donnera la valeur de On trouvera ainsi
Il y avait donc à la fin de 1784, d’après ces données, près de quatre contre un à parier que, dans l’espace d’un siècle, les baptêmes de garçons à Paris l’emporteront, chaque année, sur ceux des filles.