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Page:Laplace - Œuvres complètes, Gauthier-Villars, 1878, tome 9.djvu/152

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toute la difficulté de la détermination des oscillations du fluide se trouve ainsi réduite à satisfaire à ces équations.

La quantité ou, ce qui revient au même, la loi de la profondeur du fluide étant indéterminée dans ces équations, la supposition la plus naturelle que l’on puisse faire sur cette profondeur consiste à regarder le sphéroïde et le fluide comme ayant eu primitivement une figure elliptique ; dans ce cas, on a

étant un coefficient constant ; nous adopterons conséquemment cette valeur de dans la suite de ces recherches ; cela posé, si l’on intègre la seconde des équations (L), on aura

étant une constante que nous déterminerons dans la suite ; en substituant cette valeur dans la première de ces équations, on aura en l’intégrant,

partant,

étant une nouvelle constante ajoutée en intégrant. Pour satisfaire maintenant à la troisième et à la quatrième des équations (L), supposons

étant des coefficients constants. En substituant ces valeurs de et de dans la troisième des équations (L),