Les recherches qui font l’objet de ce Mémoire étant une suite de celles que j’ai données dans le Volume précédent (p. 75 et suiv.)[2] et que leur longueur ne m’avait pas permis d’y insérer en entier, je conserverai ici l’ordre des articles et les dénominations de mon premier Mémoire ; et, comme il est nécessaire pour l’intelligence de ce qui suit d’en rappeler les principaux résultats, je saisirai cette occasion pour les présenter d’une manière plus simple, à quelques égards, que celle dont j’ai fait usage, et pour les développer avec plus d’étendue.
Considérons une molécule fluide placée à la surface de la mer, et dont, à l’origine du mouvement, soit le complément de la latitude, la longitude par rapport à un premier méridien fixe, ou qui ne participe point au mouvement de rotation de la Terre ; supposons qu’après le temps se change en en représentant le mouvement de rotation de la Terre, et étant un coefficient extrê-