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Page:Laplace - Œuvres complètes, Gauthier-Villars, 1878, tome 9.djvu/227

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il faut donc supposer dans l’équation (T) de l’article XXIV ; or, si l’on y suppose, comme dans les articles précédents,

et que l’on fasse

il est aisé de s’assurer, par un calcul analogue à celui de l’article XIV, qu’elle sera satisfaite, pourvu que l’on ait

ce qui s’accorde avec ce que nous avons trouvé d’une autre manière dans l’article XVI, et, comme on a

la condition d’une quantité de fluide toujours la même est nécessairement remplie.

En supposant un nombre un peu considérable, on aura, à très peu près, le cas d’une profondeur constante ; ce dernier cas étant celui de la nature, on peut donc déterminer d’une manière très approchée, par la méthode précédente, les oscillations de la mer dépendantes des termes de cette troisième classe, quelles que soient la densité et la profondeur

différant très peu de on peut, comme nous l’avons fait dans l’article précédent, relativement aux termes de la seconde classe, n’avoir aucun égard aux variations de et dans le terme

on n’aura ainsi qu’une seule valeur de à calculer, et l’expression de correspondante à ce terme, sera