et les formes suivantes :
les coefficients (ı), (ıı) et (ııı) étant positifs, comme on le verra dans la suite. Au lieu de rapporter les angles et à une ligne fixe, nous pouvons les rapporter à un axe mobile, parce que la position de cet axe disparaît dans les angles Concevons que cet axe soit le rayon vecteur de Jupiter supposé mû uniformément autour du Soleil. Dans ce cas, les angles exprimeront les moyens mouvements synodiques des trois premiers satellites. Concevons, de plus, que les angles et soient nuls, c’est-à-dire qu’à l’origine du temps les deux premiers satellites aient été en conjonction. L’équation
qui a lieu encore relativement aux mouvements synodiques, donne les expressions de et deviendront ainsi
Dans les éclipses du premier satellite, au moment de sa conjonction moyenne, est nul, ou multiple de Soit ou on aura alors
Dans les éclipses du second satellite, au moment de sa conjonction moyenne, est nul, ou multiple de on a donc alors
Enfin, dans les éclipses du troisième satellite, à l’instant de sa con-