article de Louis Ulbach, sous le pseudonyme de Ferragus,
dans le Figaro, appelant ce roman de la littérature
putride, provoqua, dans le même journal, une riposte
de Zola et attira enfin cette attention et cette curiosité
que l’auteur sollicitait en vain par toutes sortes de
réclames violentes. À partir de ce moment, sans tenir
son public, il commença néanmoins à l’avoir en main.
Le putride le lançait, il ne le lâcha plus. Consulter
Correspondance Sainte-Beuve, tome ii, pag. 314-316.
— 2e édit. Paris, Lacroix, 1868, in-18 jés., 309 pp., 3 fr.
— 4e édit. Paris, Lacroix (impr. Barthier), 1876, in-18 jés., 3 fr. 50.
— 5e édit. Paris, Lacroix et Cie, Marpon et Flammarion (impr. Lahure), 1876, in-8 jés., 313 pp., 3 fr. 50.
— 6e édit. Paris, Charpentier (impr. Larousse), 1880, 1882, in-18 jés., 315 pp., 3 fr. 50.
— Même édit. suivie du CAPITAINE BURLE. Paris, Marpon et Flammarion, 1883, gr. in-8, titre, faux titre, vii-443 pp., 47 fig. gravées sur bois d’après les dessins de Castelli et 4 fig. d’après Dupray, pour le CAPITAINE BURLE, 6 fr.
Cette édition a été publiée en 56 livr. à 10 cent.
— Paris, Charpentier (Evreux, imp. Hérissey), 1884, in-32, xii-408 pp., 2 grav. Manesse, d’après Alaux, 4 fr. (Chaumont, mai 1890, pap. de hollande, 10 fr.).
Tiré à 25 ex. sur chine, 15 fr., et 75 pap. de hollande, 10 fr.
— Même édit. Marpon et Flammarion, 1887, in-16, 60 cent.
3e vol. de la collection des auteurs célèbres.
MADELEINE FÉRAT. Paris, Librairie interna-