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Page:Larade - Physiologie de l’électeur.djvu/102

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J’allais vous dire les tribulations de l’électeur appelé à la fabrication des Chambres de commerce et de tant d’autres corps illustres que vous ne connaissez peut-être pas, ce qui n’est point un grand malheur ; mais ma lumière s’éteint, le sommeil ferme les cases de mon cerveau, le papier me manque, l’encre s’épaissit, et l’ouvrier compositeur me crie : « Encore quelques lignes et les quatre-vingt-seize pages sont complètes. »

Adieu donc, cher lecteur ; je vous donne une poignée de main et vous souhaite beaucoup de plaisir, en échange des 20 sols que vous avez donnés à mon libraire.

Au revoir… à la prochaine physiologie politique.