Page:Larguier - L'an mille, 1937.djvu/80

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d’Elantes, qu’il avait fort impressionnée et qui n’avait rien dit jusque-là, tira son miroir, sa houppe et affirma, en se poudrant, qu’il était très bien.

— Il faudra qu’un jour je lise ses livres, décida-t-elle.

Madame Duthiers-Boislin ne sourit pas, mais elle pensa que les deux ou trois âpres bouquins de François Laurières n’étaient pas pour le cher « oiseau ».