Page:Larive - Dictionnaire français illustré - 1889 - Tome 1, part. 3, franch-hyst.djvu/26

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tîALlCIK — (lALLÉHIK sierras, couvertes di ? foréU où l’on raneontte encore (lus s«D) ;liprK et des lotip», nourrnMnt de nomhreus tinupeuiii de porrit. Le» haliitanls do la OhIIch, de raci- rrltiquo a peu près pure, nul été ci>iiipur<-> à juste litre avec les liahilaiitx de lAuvcrijne : leur pn>-Ijilé eut proverlualf et il» riiuriiiKxcut les meilleurs soldats île rKspa^rue ; ils imrleiil un dialecte loiiiaii plus raporoclié uu portUKaix que de respnt.-i iul. l,a (ialire, qui avait pour capit. Suint-Jncifurs-de-Com/xuitfllf, lorme aujounlliui les proviiiees de Im Corogne, de Lw/o, d’Orrnse et d« Pontrvrdra. — Dt^r. lialifii’n, qiihrifnnr. liAI.ICIK. V . Itiillirii’.)

  • iiKM.lV.Ti, IKNM - :

,liiitii-i - , «  .1 ,„lj. Ilahitaiil lie la tîalive : h’s l’inlu-irns. || (jui conreriio la (îalice : Les imrurs galiciennes. UALIKN [. l’ialfHU.i il. ’ M ap. J.-C ; mort ver» 201), célèlire iiiedeeiu (frec, ne à l’erpimc. Il vint s’éU-ililir a Konie où il cultiva l’aDaioinic, lit des viriseclions et laisiui un frrand noml>re d’ouvra) :es de médecine écrits on (Ti-ee . Il fut médecin de Marc-Aurèle, de Vériis et do Commoile. — Dér. (laltfnii/ue, galénisnif. guténislf. UAI.lUAtf^LiiONOKA DoRi, dite Italienne, favorite de Marie de Médicis. femme de Concini, maréchal d’Ancre, toute-puissante pendant la minorité de Louis XIII. Accusée de forcellerie.elle fut décapitée et brûlée en 1617. UALIUNANI (William) (1798-1882 , Anglais natiiralioé Français qui dota la ville de Ciirlicil (Seine-et-fJise) de plusieurs établissements de bienfaisance. Il dirigeait, avec son frère aillé, .Ikan-Antoink iné en 11% , le Galiynani’s Messen ;/^, journal politique anglais quotidien fonde par son père en 1814. GALILÉE, anc. province du N. de la Palestine ou se trouvaient Ai’co ou Plolrmats, S’azareth , Cana, lli’lhitlie. Cauharnafim, Ti/jeriade. C’est aujourd’hui i’eyaht de Satda. — név.dalili’en. U.’^LILËE tl564-l6i2’, illustre mathématicien et astronome italien, né à Pise, mort à Florence. Il découvrit les lois du pendule, inventa la balance bvdiMsIatiqiie, ainsi que la lunette qui porte son nom et avec laquelle il observa les taches du soleil, aperçues à la même époque par lo P. Scheiner, et découvrit l’anneau île .Saturne, les satellites de Jupiter, etc. On lui doit, en iiulie, le compas de proportion, qu’il destinait aux ingénieurs. Il enseigna le système de t’opernic et fut pour ce fait poursuivi par le sainloflice. Dliligé de se rétracter, on rapporte qu’il ne put retenir ce cri : Epur si muore ! « Kt iioiirlant elle tourne tia terre). .> D’aucuns (lisent que l’aiiecdotr est conirouvée. Il a publié : (Jitalre dialof/uex sur le xi/sli^mr du monde de Ptolémee et de Cojternic, Siderrus nu»lius. Dial’M/ues sur le mouvement et la résistance des fluides, etc. 4 :< ;ALII.IiKN, ENNE (Galilée), adj. Qui est de la tialilée. — Sm. Nom donne quelquefois par les païens à Jésus-Christ et aux premiers chrétiens. (iALIMAKHÉ, pitre du boulevartl du Temple, dont le nom est associé ,i celui de Hobèche ri (|ui fut célèbre peudant le premier Kiiipii I la Kestauraliiin. GALLMAI-’ltf= :E (./), sf. Hagoi’it fait de restes de viande. || Mauvais ragoût : Une affreuse i/alimafrée. GALIMATIAS (x). sm. Discours confus et obscur : On «’y eumiirend rien, c’est un pur galimatias. — Gr. Pour expliquer l’étymologie de ce mot, on a prélendii (in’un avocat, plaidant pour un certain .Mutiiia.s, dans un procès où il s’agissait d’un coq ^en .gallu. i), s’était embrouillé au point de dire galli . Mathias an lieu de gallus .Vathijr (le coq de Mathias . Mais cette origine du mot est plus (lu’iuvraisemltlable. GALIN (Piburk) (1786-1821), professeur de mathématiques. Il consacra une partie de sa vie à l’enseignement de la iiin~i(|ne et fut l’inventeur de la notation rhill’ice. Il oui pour collabiirateurs et succesiieurs Aim^ Paris cl Kmile Chevé. GALION gâtée, ^aliw, im. Grand navire espagnol qui servait surtout à transporter en Europe le produit des mines du Pérou et Les gnlinni. au nnmhre d-’ ’ nnm d’un n, > iicienne p> > I... ,1.. Il du Mexique dnuie. ptiit ’ «iAl.lo I t 1ère on Ifl 1,1 Harliarir : l,es /orl niaient la Meililerrn, |l HAlinirnt de trans| (l’origine hollandaise dont on se luirTail p<.... ,.....,.., .,,1, „, ,, vi*res. UALIPOT (r), sm. Tér^lienthin.» iiiiimie qui s’est solidiHée sur l’arbre : / »ecj sont aiiftrles barras. || M»-’ employé dans manne. I uiihih’ est piiiiluile |iar le pinut luquri on lait des incisions qui | . aiiiH-r cette substaocn pendant un certain ’ quand récoiilemenl e«i devenu Ir"»]. pour valoii encore disinenx qui — . ...

,... .1. -.

.. . . poussière, se dumsscnl et sèchent le long du tronc. On rt’colte ces sucs rt on b’s livre au commerce sous le nom de " ’ ’le matière impure est fondue, la liaude et décantée : la marine 1 1 fii|.i..,. m.ius cet état pour enduire les pièces ( !.• Imms que l’on veut préserver de l’action atmosphérique. GALITZIN ou GALLITZIKK, famille princière russe qui a fourni des généraux, des hommes diktat d des litléraleurv. GALL (sainl) i-iril-fijev moine irlandais, disciple «le saint Coloinban. Il fonda en Suisse un monastère on il mourut. GAI.I . (uoiNR KK SAIKT-), auteur annm ino des Ijesles de Charlemai/ne, écrites en 884 et dédiées à Charles le (iros. GALL (SAINT-). 2l4 :tK hah., ville de Suisse, eh. - l. du canton de même nom. Filatur( !S de colon , fabriques d’indiennes, de toiles, de mousselines : icinlnr ^-i ii’" , mégisseries. — Le canton de Saint-Gall, 201» kilom. carrés, 210 191 hab.dans l’K.de la Suisse, est montagneux et boisé. An N, il confine au lac de Constance et au canton de Tliurgovie ; à l’O., aux cantons de Olaris, de Schwytz et de Zurich ; au S., au canton des Grisons ; à l’E., lo Rhin le sépare du Voiarlberg (TyroL. Le canKm dAppeiicell y l’orme une enclave. Il est arrosé par le Ithin, la Tliur. la Sitter et la Linth «lui fait communiquer le lac de Wallenstadt avec relui de Zurich. Le sol, fertile dans les > produit du blé, du chanvrtr et du m ^ région S. - O . est couverte de mont.TLi- 1 l’on rencontre des ours et des * 1 ; i !ii"i-

mi N. -E ., les hauteurs sont tapissées il.v i^iir -Bien que l’élevage du bétail y soit favorisé par (le gras pAlurages, le canton de Saiiit-Giill est plnt(it industriel (| ’ GALL Fu.Nvois-J(>sKiii ^ , mé- decin badois qui se fixa eu 1 11 1887, Il est le créateur de lu phrenologie et a publié : Recherches sur le système nerreiir en général et sur relui du cerveau en 1 cuiier ; Anatomie et physioliH/ie du ./ nerreiw en général, etc., avee Spuribi 1,,, GALLAMt (Antoink ,|tiH ;i7l’i , orieni liste et uninisinale fran(’ais. membre de . cadéinie des inscriptions, professeur daralu au Collège de France. Il a donné une ii.i duel ion des Mille et une uits. (iALLAS, peuple de r.lri(Hie oriental’ au S. de l’Abyssinie. Leur |>ays est liinii. au N.- K., par la contrée des Afar. I ’ borde la mer Kouge et le di’tmit de I Mandeb ; A l’K.. par les Somiili : an s., pi’. la région monlagneuse que domine le Kenia et i>ar l’océan Indien où se unie le Itjfuli qui de.scrnd des monts des tlallas ; à l’O., par la vallée du Nil Blanc. Les Onll.is. (pli np|>artiennent A la grande race piétine, sont la plu» lielle race de l’ a |>eau cuivrée claire, à ne< aqiiilni n n chi^vaox liaMS. Ils forment de iinmbrettsv* tribus pastorales ou agricoles iiulciwndantes. Les plaines méridionales de rAoyssinie ont été à diverses repriivs envahies |>ar les Oallas, excellents ci ni ont d’ailleurs le caractère b. ’ même Conquérant. Dans le» p.i _ . , ’l~ -•• m. m ment le» Ouiitlo-tialtas. les ,<«> ; les Cham/allas uu Kounama. I . ’ fiopulation presque entièrement g.ilU : iiuus «pays des liallas proprement dit comprend 779 ’gmir<^. le Omllatm. W Gofdrrtm. le Kaff» d« e»M«r«, la Htrrmr, am I . loaacli qui «itom )• Cko«  ’ •-’ ’ ' • eatUifÉpni*’-^ ’.Ml[I Tattmtlanmi le fmlliqae avec i’iK sf. ToalA - r’iq*i«M’y ’li«*r* M-- oiip(4t«a .l lM uonIui bnt, I •ecle". grosseur «ui •t I««4f4ul Iii|i|MIm. On ir le linilx- "iim. Les ..- 1 y.i linelurMt. Loi •

1’ 111. a perce un j«uu<’ bour| ;ean |H>ur ) dépoMr un <pu(. e« bourgeon sa dé - veloppe d’une manière anormale «t prend la forma d’une grosk« cerise bniniktre , Y^rl,’ oti )>bifirb4-Iri’. . IM’ f ’•- il. |...|,|.. .,-,, .,,. De 1o’ul. ren- fenné dan» une logelte qui • forme an nin de non oc eaixl cette masse arrondie, il écl6lunr larve qui • ’ too- les ses métamorphoses. IVti’i : par- fait, elle perce «a prison et s’e<-ii.ip|.r Aillant que possible, on cueille les filles araot la »<irlieducynips. pure, (111 «Icrs^llr^ >i>(ti),eau* coup plus 1 eee grilles non i" ’fet. ’. I

' I m <- (11- Hfnililtll

. .1. - .1 liâtes dapotoHe , lu,’ Il lin pboapkala d’eu médccina i cause de a»-- < a»- trin^antea et elle est le cont : •• l’A. nMique et des alraloida*. Itans i elle sert à faire de l’encre et A 1 éiolTes en frii> (anva OU en noir. C l’êtes préparent le tanin M I .’• La 9»lle de l’éçlantier, ’ l-iédegttr. 3* Las g»llei •laux sanacs, le rhms lamoaiem. 4* La gnile i<t. fmdttila par m lige, en forme rie *» lii|Ue.. On ii< (|iii I n’il fjvmtferm :

une ir*ila 1111 vient sur le lierre lrrrr«u«. Le peaplier iiiir, le saulo marsault, l’orne cotnanD. portent parfot* des jralla* irte ToluMMWaa ei de fonaa irr<Mfitra, WBlia« é» Itrtn de pucerons. Rlba toM, à I wldi i—r , Cati vert marbre de roufta. (V. (ialhn.) — Oér. Crillrrfue, i ;nllitte, r/nllnn . I. VI I I •"."’ I > v rmHet. famille (le uraveur^ r.,11. iMiesi le ineninre ir pius rrinari|ii]inir. GALUMMM (uo). ftmi* et VkmM^m .lu -. PaUffouie australe, tl «e îelle dans •1.lIIKII noclir 7 i»eiii-< (le iFpii.jpierc* "« aux abaiUaa.