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Page:Larive Fleury Grammaire 1910 tome 2.djvu/135

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ExrnrirES. 133

255. Exercice de théorie.

1. Qu'est-ce que le parliL'ifie? — -\ Cilcz plusiours parliclivs. — 3. Comment pouvez-vous rocoiinaitre qut;o//e/Y se teniiiiie par un t? — 4. fji-is par un s ? — 5. reçu par un u ? — (î. ouvert par un / .' — 7. Le participe prissent est-il variable ou invariable? — 8. Donnez un exemple. — 9. Dans une parole menaçante, pounjuoi menaçnnte est-il au féminin? — 10. Dans lu pomme i/uej'ai mangée, pourquoi mangée est-il au l'éminin? — 11. Dans mex sœurs sojil venues, pour- quoi venues: est-il au féminin pluriel? — 12. Dans mes a)ni-< ont mangé, pourquoi mangé est-il invariable? — 13. Dans7eu(e/(s do (//«er, qu'est-ce qui vous indiquequ'il faut l'infinitif? — 14. Qu'est-ce qu'une préposition? — l.ô. Une conjonction? — 16. Un adverbe ? — 17. Une interjf'Ction' — 18. Donm'z quelques exemples.

Sujets à développer.

256. LETTRE D'.\LPHO.NSI': A UN I.XSTITL'TEUR.

Alphonse a dissipé ses camarades, et il a laissé accuser et punir Théodore. 11 n'a pas eu le courage, sur le moment, de s'avouer cou- pable; mais il a houtede sa mauvaise action. Il écrit à l'instituteur pour lui en demander pardon. Il est prêt à faire toutes les répara- tions qu'on exigera de lui.

257. RÉPONSE DE l'instituteur.

Alphonse a eu grand tort de laisser punir Théodore; mais il ra- chète sa faute par l'aveu qu'il eu fait. L'instituteur l'invite à reve- nir à la classe; la seule punition d'.Mphonse sera d'avouer devant ses condisciples qu'il est le coupable, et de faire ses excuses ù Théodore eu l'embrassant.

258. COMPASSION D'UN ENFANTA LA VUE D'UN PETIT MALrIEURKU.X.

Edmond s'en allait à l'école, son déjeuner dans son panier. . Il voit un enfant assis sur le bord du chemin.. . L'enfant pleurait et avait l'air malheureux... Edmond l'interroge... L'enfant répond qu'il n'a plus ni père ni mère : son père est mort l'année dernière, et sa mère vient de mourir; il va chez son oncle, qui demeure à trois lieueî le là. Il est en route depuis la veille, il a passé la nuit dehors, il napas mangré. .. Edmond, tout ému, tire son déjeuner de son panier ... L'enfant mange et le remercie.

259. PRODIGALITÉ d'un i:nfant.

Auguste a reçu deux francs à l'occasion de la fête du villago . . . Pressé de dépenser son argent, il tire aux macarons, monte sur les chevaux de bois, acliéte des sucreries, ... si bien qu'il ne lui reste plus rien. Le lendemain, il voit dfux de ses camarades qui, plus sages, ont acheté, l'un une belle boite de couleurs, l'autre une boite de compas .. Auiruste regrette sa prodigalité de la veille; il se promet, à l'avenir, de préférer les choses utiles aux futilités.

(Voir pago 142, cinq sujets de lettres.)

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