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Page:Larive Fleury Grammaire 1910 tome 2.djvu/148

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��LEXIQUE.

��I>ivi«le, aclj.. de la mulour ilu iihuuli. l,oiiMi.»)!.,aiiim.ron}!tni(l(iriiKii]t t.l'liivtr l,oii-e (la\)t /T., grand fleuve d<' Kran-

fc qui se jetlcdans i'ocriui ,\ilaiilii|iie.

I^OIKli-es, II- pi-; eapilale de l'Aiigle-

tcire, 4 millions "00000 li;il)it., la \ille

l:\ iilus eoiiiiiieieaïitc du monde eiilier.

I^oiiis XVI. lOi de Fyancc,Jlli-m^.

1>otip, n. ni.: fcm., louve; l'Iionime qui di-

ri!,'u la ehasse du loup est un Umretinr.

ï.von, "• )'i'-' troisième ville de France,

.'•li.-l. du dép. du Rhène ; d'où Lyuiiiiais.

Manteau, ». m., grand vêtement de

di'ssus ; d'oii mantelet.

Manuel, wlj., qui se fait avec la main.

Marcotter, v. a., coucher par terre

une hrauclie pour lui faire prendre racine.

Marne, n. pr f., rivière de France,

affluent de la Seine. Marseille, m. p.. cli.-l. d\i di'p. des Boucli.-du-Rh("inc, port sur la Méditcrran. Matièi-e. "• /'., ce qui occupe uuc place,

le contraire de l'esprit : d'"ii nniti'nel. Mâtin. " "'•, un cliicn île garde. Mérteoin. ". m., d'où ntviliriiinl. Médifanient, n. m., remède pour

guérir nue maladie. Méditerranée, ". ]ir. f.. w-r inté- rieure au sud de l'Euroiu'. [violon. "l Ménétrier, v.m., Iiouimc c|ui,i(iue dnj Mer, n. f., l'Océan ; mère, qui a des en- fants ;m«ire, aduiinist. d'une comnume. Midi ou Sud, n. m , l'un des quatre

points cardinaux. Miel. n. m., matière sucrée que i>ro-

duisent les abeilles. Milan, cap. de la I.ombardic, en Italie. Minime, ndj., très petit. Mitoyen, ndj.. qui apiiartient en com- mun 'à plusieurs personnes, qui sépare leurs propriétés. Mobilier, qui a rapport à tout ce qui

est meuble (mobile i. Moïse, n. pr., léçislalcur des Hébreux

(110.5-1535 av. J.-C). Mont-Blane, n. pr., dans les Alpes ;

sa liauteur est de 4 810 mètres. Mou, «(//., d'où mollesse. Mouclie, n. f.. insecte ailé ; une petite

mouclie s'appelle moucheron. Moyen â^e, n. pr.. le temps qui s'est

écoulé de l'an 395 h 1453. Mule, n. f.; un liomme qui conduit les

mules s'appelle muletier. Mulliouse, n.pr , ville manufacturière de lAlsace, q-ue la guerre de 1870-71 a enlevée k la France. Mûrier, n. m., arbre dont les i'enilles

servent h nourrir les vers "a soie. Négligence (avec\ négligemmeni. Bîèjïi'e, n. m., bomme à peau noire et a

(•bevcux laineux ; fém., négresse. Noix, n. f., fruit du noyer ; le diminutif

de noix est noisette. Noisette, n. f., fruit du noisetier ou

louilrier. Nopal, ». tu., plante grasse d'Amérique iiui nourrit la coebenillc -.pi. des nopals. Nord ou Septcntrli n, l'un des ipiatre

points cardinaux,

Noi-iuan<lie, h, ;"•., aneieniic iirovincc

,i,. l',an<-e. sm- !.s bords de la Man.-be.

Noiive:us, n. m., grande voiture iiubl. Orgueil, n ?)!., d'où orgueilleux- Orléans, n. pr., cb.-l.'du L(drct, d'où

Orléanais Orol>anclie. n. f.. plante parasite* cini croit sur le tbvui, le ^'enèl. le idianvre, et dans laquelle IcN hnillrs sont rem- placées par des é(;ii'ili s lamies. Ortie, n. A, planle ^:nn}v (le piipiants d'où sort un liquide vénéneux, et avec, laquelle on confectionne une toile gros- sière, mais solide. Os, n. m., un petit os s'appelle un i Paie, n. f., d'où pai/ahli;. Païen, ailj., adorateur des ukdes. Paître, v.a., brouter l'Iierbc. Panaris, n m . inllaiiunalion avec tu- meur qui allVele les doii;ts. Parasite, "'/y. (pii vil aux dépens d un autre. Se dit des plantes, des animaux. Pardon, 7i. m., d'où pardonnable. Paris, /!. pr., capitale de la France. Parnientïer, n.pr., introducteur de la pomme de terre en France, 1737- 1813. Partialité, n. f., préférence injuste :

— ai-er partialité, partialement. Patience, n. f., plante de la même

famille que l'oseille. Patience (avec), patiemment. Pays-Bas n. pr., pays forme par la

Hollande et la Belgique Pectoral, adj. bon pour la poilrine. Pelouse, n. f.. terrain couvert de ga/on. Pépinière, n.f., plants de petits arbres

,'1 re|ilanlcr. Pt'rigord, n.m., ane. prov.de France,

��iijueux

��Péril, n.m. danger; A' où périlleux. Pernicieux, adj., qui fait du mal. Pérou, république '1 l'^niérniue du

Sud, i-ap.;.i/»a; dm. Prnivn-n. Perpétuel. ».//., MUi dmv toujours. ■•étulant, ailj., vif, iin|"'tncu\. l'iiilosoplie, w. m.., celui qui soceupe de pbilosopbie, de l'étude de la sagesse. Piémont, n. pr., province seiilenlrn.-

nale de l'Italie ; cap. Turin- .

Pipée, n. f., cbasse aux oiseaux ou 1 on

se sert de gluanx cl pendant laipielle on

iuiile le cri des oiseaux.

l'HIoresque, adj.. qui plaît a la viu'.

I*latine, n. m., métal blanc cl lounl,

iiialt('iablc comme l'or. Plu» ier. n. m., oiseau de rivage. I»<»ll. l'dj. civil ; d'où politesse. l'oIogiK', n. pr., rovaumc autrefois in- .lepi'inlant aujmird'liiii partagé entre la Huvsie la l'rnsse et l'Autricbc, cap. l«rvn.'/e ,■ d'oii Polonais. 1>ra«i<|U«>. adj.; d'où pratirahlr. l»réjudice, n. m., doiniiiage ; d ou

l.rnadiriahle. Printanier. adj., du pnnteiuiis;

/■(■■»(.. pnulinnf'rc. l>i-oni|><i<irde (avec), promptemeiit, Proveni-e. n pr., anc prov.de France, sur les bords de la Méditerran.; i-ap. Au.

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