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��117. Morceau littéraire.
��LE LOUP ET LE JEUNE MOUïO.N'
Pacontez à voire manière la fable suivante :
Des moutons étaient en su reté dans leur |iarc. UnloupalTamé ■2 vint, par les fentes de l'enceinte, reconnaître l'état du trou- peau. Un jeune mouton sans e.xpérience et qui n'avait jamais 4 rien vu, entra en conversation avec lui : « Que venez-vous chercher ici? dit-il au glouton. — L'herbe tendre et fleurie, G lui répondit le loup. Vous savez que rien n'est plus dou.\ que de paître dans une verte prairie émaillée de fleurs, pour 8 apaiser sa faim, et d'aller éteindre sa soif dans un clair ruis- seau. — Il est donc vrai, repartit le jeune mouton, que vuus ne 10 mauLcez point la cliair des animaux et qu'un peu d'herbe vous sulfitl Si celaest, vivons comme frères, et paissons ensemble. « 12 Aussitôt le mouton sort du parc dans la prairie, où le sobre
philosophe le mit en pièces et l'avala. 14 Défiez-vous des belles paroles des gens qui se vantent d'être verlueu.v. Jugez-en par leurs actions et non par leurs discours.
Fknelon*, xvii« siècle (Fables).
��QUESTIOXN.^IRE.—l. Pourquoi mcl-on un accent circonilexe sur Vu do anrelé? — Dequelmotsù/'etf/dérive-t-il?
1. yu'esl-ce qu'un /jflrc .'
1. (Juollc sorte d'anirnal est-ce qu'un loup ?
1. A quelle ramillc de mots affamé appartient-il ? — OucI est le contraire de affamé ?
2. Quelle est la fonction grammati- cale de reconnaître '.'
3. Quel est l'adjectif qui ('■quivaut à
- 'ins expériencf '.'
- Quelle est l.i fonction graniniati-
• de (iw?
I lu'p«t-rp riuHn ri!,,titon ?
��.5. Citez quatre noms d^rivi?» de herbe '.'
1. Qu'est-ce qu'une prairie imailUe de fleurs ?
8. Remplacez e/ei«rf« s« soj/' par un verbe pronominal.
10. Citez deux noms et un adjectif homonymes du mot cAa/r.
13. (ju'est-ce qu'un pliilosoplie ?
13. Remplacez par un seul mmIjo la locution mettre enpiècfs.
Quel profit peut-on tirer de la lecture de celle fable 7
Qu'est-ce que Fénelon (p. 223) ? — Quels ouvrages connaissez-vous de cet auteur (p. 2:13)?
��118. Synonymes. — Débris, décombres, ruines. — 1. Les parties dispersées d'un objet détruit en sont des. . . — 2. Les par- lies d'un édifice encore debout et susceptibles de pouvoir être utilisées de nouveau sont les . . . de cet édifice. — 3. Un amas de matériaux désormais inutiles et qui reste sur rem[>lacemerit d'un édifice après sa démolition est qualifié de . . .
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