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Page:Larousse - Grand dictionnaire universel du XIXe siècle - Tome 12, part. 4, Ple-Pourpentier.djvu/130

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Typogr. Quand un maître imprimeur veut acquérir une fonte, son premier soin doit être de dresser la police du caractère dont il a besoin, c’est-à-dire la liste de toutes les lettres qui composent la casse, avec l’indication de la quantité respective de chaque sorte de lettres pour un poids général déterminé. D’ordinaire, c’est le fondeur qui établit la police ; mais le maître imprimeur peut la modifier suivant les besoins particuliers en vue desquels il commande la fonte. La composition du latin, de l’anglais ou de l’italien exige un nombre de sortes qui diffère selon l’idiome. Ce nombre varie même si le caractère est destiné à la composition des vers ou de la prose. « Les commandes sont habituellement faites, dit M. Henri Fournier, par poids lorsqu’il s’agit de fontes complètes, et par nombre de lettres lorsqu’il s’agit de compléments de fonte ou assortiments. » Voici, d’après cet habile typographe, le rapport approximatif entre le poids et le nombre de lettres, rapport variable, il est vrai, et qui peut être modifié par diverses conditions, telles que la gravure et le développement plus ou moins grand des caractères dans le sens de leur largeur :

Le six contient par kilogramme. 2,000 lettres
Le sept 1,000
Le huit 1,000
Le neuf 1,000
Le dix 680
Le onze 600
Le douze 450

Nous empruntons au même auteur un modèle de police inséré à la page 65 de son Traité de la typographie :

police de 100,000 lettres.
Bas de casse.
 5,000
 1,000
 2,500
 3,000
 9,200
 1,000
 1,000
 1,000
 4,700
 400
 200
 4,000
 2,400
 4,500
 4,500
 4,700
 1,000
 1,200
 4,500
 5,500
 5,000
 4,500
 1,200
 400
 350
 350
 5,000
Doubles.
æ 
 75
œ 
 175
 175
ç 
 150
f‍i 
 375
f‍l 
 200
f‍f 
 200


Ponctuations.
Points 
 1,000
Virgules 
 2,000
Divisions gr 
 700
— fines 
 400
Apostrophes 
 1,000
 400
 350
 150
 200
» 
 250
 50
() 
 200
[] 
 50
— 
 200
§ 
 50


Lettres accentuées.
à 
 500
â 
 150
é 
 1,600
è 
 600
ê 
 400
ë 
 150
ì 
 100
î 
 100
ï 
 100
ò 
 100
ô 
 100
ù 
 200
û 
 150
ü 
 100


Grandes capitales.
 400
 250
 350
 350
 500
É 
 200
È 
 100
Ê 
 75
 200
 200
 200
 500
 250
 75
 400
 400
 350
 350
 300
 200
 400
 400
 330
 300
 250
 150
 100
 100
Æ 
 75
Œ 
 75
 75
Ç 
 75


Petites capitales.
a 
 250
b 
 150
c 
 200
d 
 200
e 
 400
é 
 150
è 
 100
ê 
 50
f 
 125
g 
 125
h 
 125
i 
 250
j 
 100
k 
 50
l 
 200
m 
 300
n 
 200
o 
 250
p 
 150
q 
 100
r 
 200
s 
 250
t 
 250
u 
 250
v 
 150
x 
 100
y 
 75
z 
 50
æ 
 50
œ 
 50
w 
 50
ç 
 50


Supérieures.
c 
 300
l 
 150
m 
 150
o 
 150
r 
 150
s 
 150


Chiffres.
 450
 350
 300
 300
 350
 250
 250
 250
 250
 450

POLICÉ, ÉE (po-li-sé) part, passé du v. Policer. Civilisé, dont les mœurs ont été polies : Sûrement, te peuple riche est rassemblé, civilisé, policé, avant le peuple voleur. (Volt.) Dans les sociétés policées, on grandit, on perfectionne tout. (Buff.) Ce sont les nations pauvres et barbares qui ont toujours dompté les peuples policés et riches. (Grimm.) Tout privilège dans un État policé est un coup parié aux lois générales. (Thomas.) L’esprit humain ne se déploie dans toute sa force qu’au milieu d’une société policée. (Pouqueville.) L’homme policé ne peut s’affranchir entièrement, mais il ennoblit sa chaîne en consentant à la porter. (De Custine.)

Syn. Policé, civilisé, poli. V. civilisé.

POLICEMAN. s m. (pô-liss-mann — mot angl. formé de police, police, et de man, homme). Agent de la police anglaise, || Pl. policemen.

— Encycl. Ce fonctionnaire n’a rien de commun avec l’agent de police français dont on a fait dans notre pays un instrument politique, aussi jouit-il d’une très-grande considération et voit-il, bien qu’il ne porte point d’armes, son autorité constamment respectée. Le policeman est chargé de l’inspection d’un îlot de maisons et fournit à tout requérant inhabile à se diriger seul toutes les indications nécessaires. Il est muni d’un petit bâton terminé par un bout d’ivoire, avec lequel il touche un individu lorsqu’il croit devoir l’inviter à le suivre devant le constable. La nuit, le policeman porte une lanterne sourde, dont la lumière est dirigée en temps ordinaire du côté de son corps, et dont il ne se sert pour éclairer la voie publique qu’en cas d’accident. Durant la nuit, ce veilleur prononce à haute voix quelques mots indiquant que tout est tranquille, une sorte de « prenez garde à vous. » En cas de danger, ou si son secours est réclamé, il appelle les poticemen voisins au moyen d’un appareil qui produit un son particulier. En somme, le policeman est à Londres ce que ne devrait pas cesser d’être le gardien de la paix à Paris.

POLICER v. a ou tr. (po-li-sé —rad. police. Prend une cédille sous le c devant un a ou un o : Nous poliçons ; il poliça). Civiliser, donner des mœurs polies à : Pierre Ier, pour policer sa nation, travailla sur elle comme l’eau-forte sur le feu. (Frédéric II) Plusieurs hordes de sauvages coururent au-devant des législateurs qui entreprirent de les policer. (Barthél.)

Se policer v. pr. Devenir policé : Les peuples se policent par les relations commerciales.

POLICHINELLE s. m. (po-li-chi-nè-le — nom d’un personnage de la farce italienne). Marionnette bossue par devant et par derrière, dont s’amusent les enfants : Un polichinelle de carton. Les polichinelles de l’enfance sont aussi sérieux que les ambitions de l’âge mûr. (A. Karr.)

— Fam. Homme sans consistance, sans fixité dans le caractère : C’est un vrai polichinelle. Ces polichinelles de directeurs ont su se brouiller avec tous les hommes qui pouvaient bien mener la barque. (Balz.)

— Par plaisant. Enfant non encore né, qui s’agite comme un polichinelle dans le sein de sa mère.

— Pop. Verre d’eau-de-vie.

Voix de polichinelle, Voix aiguë et chevrotante.

C’est te secret de Polichinelle, Se dit d’une chose que tout le monde suit et dont les gens naïfs font mystère : Ce complot était le secret de Polichinelle ; chacun en parlait hautement en public depuis plusieurs jours. (Balz.)

— Techn. Fourgon coudé et plat par le bas, dont se servent les fondeurs.

— s. f. Sorte de danse comique, de sabotière. || Air sur lequel on l’exécute.

POLICHINELLE, de l’italien pulcinella. Le Vocabulaire napolitain raconte ainsi l’origine de ce nom : « Dans le siècle passé, une bande de comédiens ambulants fut assaillie de quolibets par des vendangeurs près d’Acerra, ville délia campagna felice ; ils eurent le dessous à cause d’un certain paysan nommé Puccio d’Aniello, qui triompha d’eux et qui avait une figure de charge, nez long, visage noirci par le soleil. Consolés de leur défaite, ils eurent l’idée d’associer cet homme à leur troupe. Celui-ci accepta et eut le plus grand succès. De lit son masque, son rôle et son nom sont entrés au théâtre sous le titre de Polecenella. » D’autres, au contraire, rejetant cette anecdote, croient que ce mot vient de pulcino, poussin, diminutif du latin pullus, et n’étant dans l’origine qu’une expression de caresse : Mon poulot. D’autres enfin parlent d’un Paulo Cinella, qui aurait joué les Polichinelles du temps de Charles d’Anjou, à Naples.

Le type de Polichinelle, abandonné aujourd’hui aux marionnettes et réduit à ne plus être qu’un personnage de bois, a longtemps fait partie de la comédie italienne, avec Pierrot, Arlequin, Colombine, le docteur et Cassandre ; type de la hâblerie, de la fatuité en amour, de la dépravation cynique, il est de tous les âges et en effet date de loin. « Il est avéré, dit Génin, que Polichinelle a diverti les Romains de la république ; il s’appelait en ce temps-là Maccus. Les farces atellanes n’étaient pleines que de son nom et de ses exploits. L’identité n’est pas douteuse : on a déterré aux environs de Naples une figurine de bronze antique représentant Maccus, bossu par derrière et par devant et le visage orné de ce long nez crochu qui a valu au personnage son nom italien moderne : Pulcinella, bec de poulet. On peut s’assurer du fait dans Ficoroni, De larvis scenicis. Les anciens avaient dressé des statues à Polichinelle ; Polichinelle est antique, Polichinelle est classique comme Plaute et Térence. Il a même conservé jusqu’à, nous un caractère natif : c’est ce bredouillement inintelligible qui le distingue parmi tout le peuple des marionnettes. C’est un reste d’accent du pays, dont Polichinelle n’a jamais pu se débarrasser, car, tous les savants vous le diront, Maccus était né chez les Osques, si renommés dans les anciens auteurs pour leurs bons mots et leurs piquantes saillies. C’est de là que Maccus se transporta à Rome, où l’on représentait sur le théâtre des jeux osques, petites pièces qu’on jouait le matin avant la grande pièce. Maccus y paraissait dans toute sa gloire ; mais, comme à tous tes cœurs bien nés la patrie est chère, il ne consentit jamais à parler une autre langue que sa langue natale. — Les Romains, qui imposèrent leur idiome à tant de peuples vaincus, ne vinrent pas à bout de l’imposera Polichinelle, et aujourd’hui encore, devant les soldats, les bonnes et les petits enfants ébahis, Maccus continue à parler osque, comme il parla jadis devant Coriolan. En effet, les Osques étaient voisins des Volsques, chez qui Coriolan alla chercher un asile. Quelques historiens ont prétendu même confondre ces deux peuples. Il est naturel que le héros proscrit ait cherché à divertir son chagrin par les plaisanteries de Maccus, et il est probable que la scène pathétique de Véturie, accompagnée des dames romaines, eut pour témoin Polichinelle. Ce point d’archéologie pourra être éclairci plus tard ; en attendant, il est hors de doute que la noblesse de Polichinelle remonte plus haut que la fondation de Home. La plus ancienne noblesse de l’Europe est sans contredit la sienne. »

Le Pulcinella napolitain, au nez crochu comme un bec d’oiseau, est un grand garçon, droit comme un autre, bruyant, alerte, au demi-masque noir, au bonnet gris pyramidal, à la camisole blanche, sans fraise, au large pantalon blanc plissé et serré à la ceinture. Son occupation ordinaire est de berner Cassandre, cet éternel plastron de la gaieté italienne, dont vingt siècles de tromperies et de coups de bâton n’ont pas encore lassé la robuste et patiente bêtise. Ce n’est pas là le Polichinelle que nous connaissons, à la double bosse, au costume éclatant, rouge et galonné. En quittant Naples, il s’est dénationalisé. Il s’est fait Gaulois chez nous, restant toujours narquois, toujours batailleur, matamore, fanfaron, disant de lui dans sa fameuse chanson : « Quand je marche, la terre tremble. C’est moi qui conduis le soleil. M. Magnin, qui s’est fait l’historien des marionnettes, croit reconnaître une personnification de Henri IV dans ce type gascon, dont les deux bosses, exagérées depuis, s’expliqueraient par les cuirasses bombées et les ventres à la poulaine alors à la mode. L’enflure du personnage, son insolence brutale, le clinquant de son costume, tout cela n’aurait été peut-être, à un moment donné, qu’une satire du faste ridicule affiché alors à la cour par les nobles castillans.

Simple personnage des marionnettes, Polichinelle fait encore la joie des enfants ; il faisait celle de Ch. Nodier, qui l’appelait un personnage immortel et ne se lassait pas de le voir battre sa femme, narguer ses créanciers, bâtonner le commissaire et pendre le bourreau. Le petit instrument appelé pratique, dont l’imprésario de ces théâtres en plein vent se sert pour faire parler ses acteurs de bois, excitait surtout sa curiosité. Un jour, n’y résistant plus, il voulut absolument s’en servir et fit à son tour parler Polichinelle. « C’est très-ingénieux, très-surprenant, dit-il tout en se servant de la pratique ; mais cela demande une grande» habitude. Comment faites-vous pour ne pas l’avaler ? — Baste ! répondit l’homme, celle que vous tenez dans la bouche, je l’ai avalée plus de vingt fois ! »

Grâce à de récentes et originales pantomimes de Champfleury, Polichinelle, en chair et en os, a reparu sur la scène. Voici son costume actuel : chapeau, veste, culotte mi-partis rouge et vert, galonnés d’or ; une jambe verte avec un bas rouge et vice versa ; sabots rouges, recouverts de peau de mouton blanche ; une manche rouge à parements verts et réciproquement ; perruque et moustaches blanches, nez rouge, menton et front ébourgeonnés, collerette et manchettes de dentelle.

Polichinelle a couru le monde entier. Dans l’Allemagne, c’est Hanswurst (Jean Boudin), mélange, pour le caractère et l’esprit, du Pulcinella, d’Arlequin et de Pierrot ; ce bouffon a, suivant Lessing, deux qualités caractéristiques, la balourdise et la voracité. En Angleterre, Pulcinello est devenu Punchinello, et finalement Punch, conformément au génie monosyllabique de la langue anglaise. C’est vers l’époque des Stuarts qu’il lit son apparition.

« Punch n’était encore en 1697, dit M. Magnin, qu’un vert galant, joyeux et tapageur, une sorte de petit roi d’Yvetot ou de Cocagne, un peu libertin, très-hâbleur, mais faisant beaucoup plus de bruit que de mal. » C’est le portrait qu’en trace Addison dans une pièce de vers latins de sa jeunesse, publiée dès 1698 et conservée dans ses œuvres sous le titre peu élégant : Machinæ gesticulantes.

Ludit in exiguo plebecula parva theatro ;
Sed præter reliquos incedit homuncio, rauca
Voce strepens…
In ventrem tumet immodicum ; pone eminet ingens
A tergo gibbus ; pygmæum territat agmen
Major, et immanem miratur turba gigantem.

L’homuncio d’Addison ressemble bien à notre Polichinelle par sa voie rauque, l’enflure exagérée de son ventre et sa bosse. Il faut remarquer cette taille relativement gigantesque qui en faisait un objet d’effroi pour le vulgaire des marionnettes. L’insolence, l’importunité, la pétulance, l’impudence étourdie de Polichinelle n’ont pas échappé au jeune auteur :

Jactat convitia vulgo.
Et visu importunus adest atque omnia turbat.
… Puellas
Nec raro invadit molles, pictamque protervo
Ore petit nympham, invitoque dat oscula ligno.

Les critiques anglais comparent Punch à don Juan. On a même été jusqu’à avancer que les déportements de Punch ont pu suggérer l’idée du caractère et des exploits du héros de la galanterie espagnole. Mais les faits et les dates repoussent ce système. Lorsque Shadwel introduisit, en 1676, sur la scène de Londres, la première imitation de Don Juan, sous le titre de The libertine destroyed, Punch n’était pas encore connu dans la Grande-Bretagne. M. Payne-Collier pense que le célèbre drame de Punch and Judy (Punch et sa femme Judith, primitivement Jeanne) est d’une date assez récente en Angleterre, et il attribue les licences hyperboliques de cette composition à l’engouement qu’excita le chef-d’œuvre de Mozart à la fin du dernier siècle. Punch, suivant la définition de M. Payne, est le don Juan de la populace. D’ailleurs, le plus ancien texte où ce critique ait trouvé la mention des aventures de Punch et de Judith est une ballade qu’il ne fait pas remonter au delà de 1795, et dont M. Magnin est porté à ne pas le considérer comme l’éditeur seulement. Voici la traduction de cette pièce, intitulée les Fredaines de M. Punch :

« Oh ! prêtez-moi l’oreille un moment ! je vais vous conter une histoire, l’histoire de M. Punch, qui fut un vil et mauvais garnement, sans foi et meurtrier. Il avait une femme, et un enfant aussi, tous les deux d’une beauté sans égale. Le nom de l’enfant, je ne le sais pas ; celui de la mère était Judith. Right tol de rol lol.

» M. Punch n’était pas aussi beau qu’elle. Il avait un nez d’éléphant, monsieur ! Sur son dos s’élevait un cône qui atteignait la hauteur de sa tête ; mais cela n’empêchait pas qu’il n’eût, disait-on, la voix aussi séduisante qu’une sirène, et par cette voix (une superbe haute-contre, en vérité !) il séduisit Judith, cette belle jeune fille. Right tol de rol lol.

» Mais il était aussi cruel qu’un Turc et, comme un Turc, il ne pouvait se contenter d’une femme (c’est, en effet, un mince ordinaire qu’une seule femme), et cependant la loi lui défendait d’en avoir deux, ni vingt-deux, quoiqu’il pût suffire à toutes. Que fit-il donc dans cette conjoncture, le scélérat ? Il entretint une femme ! Right tol de rol lol.

» Mistress Judith découvrit la chose et, dans sa fureur jalouse, s’en prit au nez de son époux et à celui de sa folâtre compagne. Alors Punch se fâcha, se posa en auteur tragique et, d’un revers de bâton, lui fendit bel et bien la tête en deux. Oh ! le monstre ! Right tol de rol lol.

» Puis il saisit son tendre héritier…, oh ! le père dénaturé ! et le lança par la fenêtre d’un second étage, car il préférait la possession de la femme de son amour à celle de son épouse légitime, monsieur ! et il ne se souciait pas plus de son enfant que d’une prise de macouba. Right tol de rol lol.

» Les parents de sa femme vinrent à la ville pour lui demander compte de ce procédé, monsieur ! Il prit une trique pour les recevoir et leur servit la même sauce qu’à sa femme, monsieur ! Il osait dire que la loi n’était pas sa loi, qu’il se moquait de la lettre et que, si la justice mettait sur lui sa griffe, il saurait lui apprendre à vivre. Right tol de rol lol.

» Alors il se prit à voyager par tous pays si aimable et si séduisant, que trois femmes seulement refusèrent de suivre ses leçons si instructives. La première était une simple jeune fille de la campagne ; la seconde une pieuse abbesse ; la troisième, je voudrais bien dire ce qu’elle était, mais je n’ose : c’était la plus impure des impures. Right tol de rol lol.

En Italie, il rencontra les femmes de la pire espèce ; en France, elles avaient la voix trop haute ; en Angleterre, timides et prudes au début, elles devenaient les plus amoureu-