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Page:Larousse universel, 1922, I.djvu/19

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ABE

sv. d'Angleterre (comté de Mon- es sidérurgiques,

abètir v.n. (rad. bête). Rendre bête, stupide : Talcootisme abëtit l'homme. V. n. ct S'abêtir, v. pr. Devenir stupide : le paresseux ,abètit (ou s'abètit) de

ur en jour.

abêtissement /ti-se-man) n. m. Action d'abé- tir. Etat de celui qui est abéti : l'abétissemnent de beaucoup d'enfants est souvent dû aux mauvais traitements.

Abezan, jug d'Israël pendant sept ans, anté- rieurement à Samuel.

Abgar, nom de huit rois d'Edesse, en Mésopo- tamie (132 av. J.-C. — 216 apr.). Le plus connu vivait au temps de Jesus-Christ.

ab hoc et ab hac loc. lat. signif. D'ici et de là; à tort et à travers. Parler ab hoc et ab hac, avoir une conversation décousue, incohérente.

abhorrable {bo-ra-blel adj. Qui mérite d'être abhorré. (Peu us.)

abhorrer {bo-r£! v. a. Avoir en horreur, baïr, détester, exéorer : on abhorre les fripons. AxT. Ai- mer, chérir, affectionner.

Abia, roi de Juda, fils et successeur de Roboam, vainqueur dé Jéroboam, roi d'Israël (957-956 av. J.-C.)

Abidjan ou Abidjean, localité de l'Afrique- Occidentale française (Côte d'Ivoire), sur la rive sep- tentrionale de la lagune d'Ebrié,

abiès [bi-éss, n. m. (lat. abies). Nom scientifique du sapin (qui ä donné son nom aux abiétinées).

abiétine ». £. Substance résineuse des térében- thines de Strasbourg, des Vosges et du

abiétinées [né} n. f. pl. (de abiés). Tribu de conifères, comprenant des arbres généralement éle- vés, résineux, comme le pin, le sapin, l'épicéa, le cèdre, le mélèse, etc. S. une abiétinée,

abiétique adj. Se dit d'un acide solide, blanc, qui se forme lorsqu'on luisse TA LS endant quel- que temps de la colophane avec de l'alcool à 70 degrés.

abiétite n. f. (de abiëés). Composé que l'on ex- trait des pos de certains sapins.

Abigaïl, femme du riche Nabal. David l'épousa quand elle fut devenue veuve. — Sœur du roi David.

abigéat [jé-a] n. m. (du lat. abigere, chasser devant soi}. Dr. anc, Vol de bestiaux.

abigoti, © adj. Devenu, rendu bigot. (Vx.)

Abilly, comm. d'Indre-et-Loire, arr. et à 32 kil. de Loches ; 1,160 h. Forges, fonderies.

abîfme n. m. (du gr. « priv., et bussos, fond), Gouffre, précipice très ig. Tout ce qui est extrème : un abfme de misère. Impénétrable : de cœur de l'homme est un abîme. Etre sur le bord de Tabîme, être sur le point de se ruiner, de se perdre, Loc. crrrén. V. ABYssUS, et PASCAL, Blas, V. cœur.

Abimélech {454}, fils de Gédéon. 1 devint ju d'Israël après avoir fait égorger ses frères ; il établit son pouvoir sur Sichem et fut tué au siège de Thè- bes, en Palestine, par une pierre que lui lança une femme (vers 1100 av. J.-C.)

abimer {m4} v.a. (de abfme). Renverser, culbu- ter : Condé abîma l'infanterie espagnole à Rocroi. Gâter, salir, endommager : la pluie abfme les che- mins. S'abimer v. pr. Tomber dans un abime, s'én- gloutir : le Lusitania, torpillé, s'abima dans les flots. S'écrouler : maison ge s'abîme dans les flam- mes. Fig. Se plonger : s'abîmer dans sa douleur.

ab imo pectore ou imo pectore mots lat. signif, Du plus profond du cœur; avec une entière Pan. He On dit : exprimer son indignation ab imo

ctore.

ab intestat [tés-ta] loc. prép. V. 1NT&STAT.

Abiodh-sidi-Cheikh, koubba d'Algérie (dé- part. d'Oran), à 63 kil. de Géryville. Tombeau du marabout Sidi-Cheikh, qui vivait au xvue siècle,

abiogénèse 3e) n. f. (gr. a priv., bios, vie,etge- production), Hiol. Théorie de la formation des êtres vivants au moyen des corps bruts, V. HIOGÉNÉSE

abiose [2e n. f. (du gr. a priv., et bios, vie), Biol. Suspension de la vic apparente,

ab irato loc. lai. signif. Par un mouvement de colère, On dira : ne prenez aucune résolution ab irato; un testament ab irato,

Abiron, lévite qui, avec ses compagnons Coré et Datban, se révolta contre Moïse et Aaron. Ils furent engloutis avec deux cent cinquante complices par la tèrre, qui s'ouvrit devant eux. ( Bible.)

abirritant [ab-ir-ri-tan), © adj. Qui est pro- pre à diminuer l'irritalion ; remède abirritant. N. in. : un abirritant mécanique chimique.

abirritatiOn [ub-ir-ri-ta-si-on] n. f. En méde- cine, état opposé à l'irritation.

abirriter [abir-ri-té, v. a. Diminuer la sensi- bilité, l'irritation da ne partie du corps.

Abisag {zagh\, jeune Sunamite, compagne de David dans sa vicillesse, (C'est la jeune Sunainite de l'Ecriture.

Abiu, fils d'Aaron, dévoré les flammes, avec son frère Kadab, pour avoir mis du feu profane dans sr Bible.)

at, c. de la Dordogne, arr. et à 10 ki Nontron; 1.700 h. ad APR abject [ab-jéktl, @ adj. (du lat. ahjectus, jeté hors). Méprisable, bas, vil: homme abjecl : A ments abjects. ANT. Elevé, noble.

abjectement [ar-jék-te-man) adv. D'une ma nière abjecte, méprisable, vile,

abjection [ab-jék-si-on] n. f. Abaisseme lissement, bassesse, en parlant du caractère, timents : vivre dans l'abjection n'est pas vivre.

ab Jove CR LR mots lat. signif. Commen . par Jupiter, et employés par Virgile (Egloques,

Il, 60), Le berger Damoætas déclare qu'il va com- mencer son chant par JUPE père de toutes choses, Dans l'application, signifie : Commençons par le per- sonnage le plus important ou par la chose princi- pale ; a tout seigneur, tout honneur,

abjurable adj. Qu'on peut, qu'on doit abjurer hérésie abjurable.

abjuration fsi-on) n. f (du lat. abjuratio, re- niement,. Renonciation solennelle à une religion : L'abjuration de Henri IV mit fin à la Ligue. Action dé renoncer à une opinion, à une doctrine, etc.

— Excyez, L'histoire offre de nombreux exemples d'abjurations : celles de Henri IV à Saint-Denis

Abertiller mouth):; 9.600 h.









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Et pe

1593): de Christine de Suède à Innsbruck (1655): de Turenne (1688); d'Auguste If, roi de Pologne (1706) ; de Bernadotte, devenu prince royal de Suède, en 1810: d'Alix de Hesse, devenue tsarine sous le nom d'Alexandra-Fedorovna (1896): de Boris, prince béri- tier de Bulgarie (1896) ; d'Hélène de Monténégro, de- venue reinc d'Italie (1896): d'Ena de Battenberg, de- venue reine d'Espagne sous le nomde Victoria (1906).

abjuratoire adj. Qui concerne l'abjuration : acte, formule abjuraloire,

abjurer {ab-ju-ré, v. a. Renoncer publique- ment à une religion : Turenne abjura le calrinisme, Fig. Renoncer à une opinion, à une doctrine, etc, : abjurer Aristote, Descartes, ete,

Abkases ou Abkhases, ancien peuple du Caucase occidental, à identifier sans doute avec les Abasges des Romains et les Abazes d'aujourd'hui. — Un Abkase ou Abkhase. Adj. : peuplade abkase.

ablactation [biak-ta-si-on) n. f. (préf. ab, et lat. lac, dactis, lait), Cessation de l'allaitement. (Ce mot s'applique à la mère, ct celui de sevrage à l'enfant.)

Ablain-Saint-Nazaire, comm, du Pas-de- Calais, arr. et à 41 kil. d'Arras ; 1.127 b. (en 1914). Détruite pendant la Grande Guerre. É

ablais {b) n. m. pl. Dr. anc. Blés coupés dans les champs et non rentrés.

Ablancourt {hour (PEeRnoT d'}, écrivain fran- çais, né à Châlons-sur-Marne, im. à Paris (1606-1664), Auteur de traductions de classiques grecs et latins que l'on a justement surnommées les belles infidèles, À cause de leur élégance et de leur inexactitude,

ablatif, ive adj. (du lat. auferre, sapin abla- tum, enlever). Qui a le caractère, la valeur de l'abla- tif : proposition ablative. N. m. Cas de Ja déclinai- son sanscrite, latine, indiquant l'instrument, l'éloi- gnement, l'origine, la matière.

ablation !si-on! n. f. (lat. ablatio), Chr. Ac- tion de retrancher, d'enlever: pratiquer l'ablation d'un membre, d'une tumeur, %

ablativo adv. lat. Avec confusion. en désordre: il a mis cela ablativo tout en un tas. (Fam.)

&bl1o n. m. (du lat. albus, blane). Nom générique sous lequel on désigne les pe- tits poissons d'eau douce à écailles argen- tées.

Re ables sont a < lés aussi Totsons blancs ; les espèces les plus com- munes sont : l'ablette, le meunier ou chevesne, le gar- don, le rotengle, la vandoise, le véron, etc.

ablégat [gha) n. m. (préf. &b, et lat. legatus, envoyé). Vicaire d'un légat. Commissaire chere par le pape d'une mission gracieuse, notamment de por- ter la barrette A un nouveau cardinal.

ablégation {si-on! n. f. Dignité, fonction d'a- blégat.

ablepsie [blp-si) n. f. (du gr. a priv.. et blep- sis, vue). Cécité. Fig. Aveuglement de l'esprit.

ableret fre) ou ablier {bli-é] n. m. Filet carré, dit aussi carrelet, (V. ce mot.)

ablette [biè-te) n. f.(de able). Petit poisson d'eau douce, aux écailles argentées.

— ExcyeL. L'ablette est commune dans presque tous les cours d'eau d'Europe, mais sa chair est peu 4 estimée. On la pêche au carrelet ou à la ligne,au moyen d'hamecons très petits et en se servant . comme appât de vers, APS d'asticots, etc. La matière n Eques qui recouvre ses écailles est appelée rssence d'Orient el trouvé son em- ploi dans la fabrication des perles fausses,

Ablois, c. de la Marne, arr. et à 9 kil. d'Eper- nay; 1147 h. Ch. de f.

Ablon, comm, de Seine-et-Oise, arr. et à 16 kil. de Corbeil, sur la Seine ; 1.420 h. Ch. de f, O.

abluant {blu-an), 6 adj. Se dit des médicaments propres à enlever les matières putrides et visqueuses des ulcères : lotion abluante. N. m. : un abluant.

abluer {blu-é| v. a. (lat. abluere). Laver du par- chemin ou du papier 4vec une préparation, pour €n- lever les taches ou raviver l'écriture,

ablution fsi-on] n. f. (de abluer). Chez les Orientaux, purification religieuse, qui consiste À se laver le corps où une partie du corps, Chez les ca- tholiques, vin et eau que le prêtre verse sur ses doigts après la communion. Fam, Action de se laver : faire ses ablutions.

— Excycz. Dans l'islamisme, on distingue la grande ablution ou immersion de tout le corps, €t la petite ablution, dans laquelle on se lave seulement les mains, les pieds et lé visage. Faute d'eau, on simule J'opé- ration avec de Ja terre où du sable,

ablutionner f{si-oné) v. a. Laver, faire une ablution. S'ablutionner v. pr. Se faire une ablution.

abnégantisme [ghan-tis-me] n.m, Esprit d'ab- négation : les moralistes préchent l'aimégantisme.

abnégation jsi-on) n. f. (lat. abnegatio, ne- tion de nier). Renoncement, sacrifice : faire abmé- gation de soi.

Abner fnèrl, général sous Saül, dont il était cousin, et sous David. Il fut assassiné par Joab, en- vieux de la faveur qu'il avait acquise.

Abner, général israélite, personnage de la tra die de Racine, Athalie. Confiient de FRE il pi nifle le soldat courageux, mais À volonté timide,

Abo, v. et port de Finlande, sur la Baltique, PRES gouver: RAR ANS BIOAPRDEE : 56.000 h.

Constructions navales. Traité de paix entr ét la Russie (1713). [Auj. Turkule Hre-HRueUe

. ADOI n. m. {de aboyer). Cri du chien domestique, N. m. pl. Dernières extrémités où le cerf est réduit, quand il ést forcé par les chiens. Fig. Situation dé- sespérée : commerçant ruiné et aux abois.

aboiement ou aboîiment [boi-man]) n. m. Faculté, action d'aboyer, aboi : l'aboiement n'existe pas chez le chien sauvage, Fig. Cris importuns, pour- suites réitérées et fatigantes : les aboiements per- pétuels de la critique amoindrissent l'inspiration.

AbOlir v. a. (lat. abolere). Supprimer, annuler, anéantir : abolir une loi, La Constituante abolit les droits féodaux. AxT. Gonserver, maintenir,


Able.








ABO

abolissable {li-sa-ble] adj. Qui doit ou peut étre aboli : coutume, loi abolissable, (Peuus) abolissement {/ise-man) n. m. Action dæ bolir, suppression, anéantissement : l'abolissement des privilèges, des abus. fr À abolisseur [li-seur] n. m. Celui qui abolits: un grand abolisseur d'abus. À abolitif, ive adj. Qui abolit : loi abolitive. abolition {si-on] n. f. (de abolitif). Action d'abolir ; Cr anéantissement ao de l'esclavage ; le chloroforme produit l'abolition de la sensibilité. Annulation (en parlant des lois}. Let- tres d'abolition, avant 1789, décision roy: i soustrayait un délinquant aux poursuites commen cées où à la peine prononcée, ANT: mater “ - abo onnisme fsi-o-nis-me) n. m. Fa Arr des partisans de l'abolition de l'esclavage « l'aboli- tionnisme est né en Angleterre. À abolitionnisto {si-o-nis-te] adj.

‘ à ui se F pus à l'abolitionnisme : système «bo A 28

Partisan de ce système. Es abolitoire adj. Qui abolit, qui a la puissance ER : sentence abolitoire. Le AE abomasum [:0m') n.m. Û u oma- sum, pee Quat: rar des ruminants, pelé plus communément caillelte : l'abomasumi veaux et des agneaux fournit la présure sert à TT a anc. cap. du du her DA SAS environ Fr ts Les Français s'en sont emparés en 1892. à

abominable adj. SE exeite l'aversion, l'hor- reur : crime abominable; calomnie abo k Très mauvais, exécrable, le : tableau, goût,

temps abominable. abominablement {man] adv. D'une manière sat Fam. Fort mal : chanter abomina- ment. 4 abomination [sion] n. f. Horreur : être en abomination aux ss de bien. Chose abominable : assister à des abominations ; c'est une ab: abominer (nf) v. a. (lat. abominari). Avoir en horreur, en exécration, d 3 + abondamment (éme adv. Avec abc dance ; copieusement, à foison, considérablemer abondance n. f. (de abondant). Grande quan- tité: l'abondance des récoltes ré nn jouit le laboureur. Ressources FC, considérables : vivre dans labon- dance. Fig. Richesse, facilité d'élo- cution : parler avec abondance. En terme de collège, vin fortement coupé d'eau. Parler d'abondance, sans préparation. Corne d'abon- dance, corne remplie de fruits et de fleurs, qui symbolise l'abon- dance. Prov. : Abondanco de biens no nuit pas, on accepte encore, par dent du ANT end Rat (eo Past ont on a une quan F- * fisante. ANT. Disotte, dénuement. pi # Abondance, ch.1. de c. (Haute-Savoie), arr. et à 30 kil. de Thonon, sur la Dranse: 1.460 h, Fromages dits vacherins; race de bovidés estimée. — Le cant, a7 eg se h. < si abondant [dan], 6 adj. Qui abonde : récolte abondante. Fertile, qui reduit en abondance : {a Beauce est lante en blé, D sions, fécond en idées + le sfyl teaubriand.



en ex ant de


abonder [dé] v. n. (lat. Re Etre, avoir e -

ou produire en abondance : ne en France. Abonder dans le sens de quelqu'un, se ran- r à son opinion, être pleinement de son avis,

PROv. : Ce aboñde no vicie

ou ne nuit p ce qui est de trop n'empêche pas da valioité d'un Le :

de procédure.

b taire [Lo-na: É à abonna [ tè-re] adj. Qui est concédé

par abonnement : gestion abonnataire, N. :

"aboi é cm Û rer US abon- abonn: . adj. etn. apr

nement gr An à un journal; les aben

nés d'un théâtre. sk

PE À TOME pou un fompe et pren

are) fo: ur un 3 re abonnement à an Journal, à un théâtre.

— ExcycL. Dr. L'abonnement est une convention entre l'administration et un contribuable, en vue de RRERE le NAAIERE ae Er enr au

qomen success ro une. ñe rminée, C'est ainsi que les brasseurs on s'abonner avec la commune pour l'acquittement des droits d'octroi.

Taxe d'abonnement, On nomme ainsi une taxe représentative des droits de mutation à titre gratuit (donation et succession), perçue sur la valeur des biens de certaines assoéiations, On à d'abord appelé Cet a d'aseroissement. à à

abonner [ho-nél v. a. (de -bonne, ane. forme de Et Prendre de en un abonne- ment. S'abonner v. pr, P: un abonnement pour soi-même, AxT. Désabonner, so désabonner. à

abonnir |bo-nir] v. a. (rad. bon). Améliorer # abonnir uni terrain. V. n. Devenir bon : le vin abon: nit en bouteillé, S'abonnir v. pr. Devenir meilleur + Le vin s'abonnit en vieillissant.

abonnissement {bo-nis-se-man) n. m. Le fait

d'abonnir, de s'abonnir, (Vx.). [On dit plutôt sont.

FICATION, AMÉLIORATION] : abord {bor] ñ. m. (de aborder). Action d'abor-

der : tenter l'abord d'un port. Manière d'accueillir +

Henri IV était d'un abord facile. N. m. pl. Les alen- tours d'une ville, d'une maison, d'un jardin +4es abords de Paris. Chez les bovidés, maniements com- pris, de chaque côté, entre la base de ln que etla pointe de la fesse, Loc. adv. : D'abord, premier Pere prime abord, tout d'abord, dès le premier nstant,

abordable adj. Accessible, qu'on peut abor-- der : Les écueils rendent pru abordables les côtes du sud de l'Italie, Fig. Accucillant : Louvois était vio- lent et peu abordable, Axr. Inabordable.

abordage n. m. (de aborder). Assaut donné à un vaisseau ennemi : Jean Bart sillustra dans des combats d'abordage ; monter à l'abordage. Choc im-