k
+ les andouillettes de Troyes sont renom-
ÿ - : JAndouque, comm. du Tarn, arr, et à 22 kil. d'Albi ; 1,820 d Andoyer (Marie-Henri), mathématicien et as- à f ES né à A rs Ses Pipe emen! mécanique este, ht des sciences (4919. Andrada e VA (Joseph-Boniface), un des Pas de lindépendance brésilienne, né à 4 , m. à Nictheroy (1765-1838). Andral (Gabriel), célèbre médecin français, né is, m. à Châtrauvieux (1797-1876). On lui doit remarquable : Clinique médical, A1 fut membre de l'Aca-
D
l'Etat
rois, né à Zem- à Volosca
I conclut
Alliance. saint}, de saint
30 novembre. é {Marlyr: de saint), immense et belle du Dominiquin, couvent de Saint-Grégoire
- — tableau de Murillo (Madrid); — belle
gique du Calabrèse (Louvre). André lurdre de Saint-), ordre de chevalerie, le éke les 0 russes. Institué en 1698 Pierre le Grand et rema- tard par Paul Ier et as Ier, Une seule classe cereles qui sont de Fi grands-croix des or- ba de Sainte-Anne et de . Saint-Stanislas et chevaliers pans de Saint-Alexan- : _ dre et de l'Aigle-Blanc, Cor- don bleu clair, porté
roi de F208 à 1235, prit 5° croisade et con-
Ordre de Saint-André.
le Petit Pére), moine augusiin, né à Paris ). Il est connu surtout par la simplicité et maiveté de son éloquence. Ù {can}, dit le Frère André, peintre français, né ot m. à Paris (1662-1753), auteur d'un … grand nombre d'estimables tableaux religieux. André (Yves Marie), dit le Père André, jésuite Doro cartésien français, né à Châteaudun, à Caën (1676-1764); ami Malebranche, auteur d'un Essai sur le beau. … André (Etienne), le tambour d'Arcole, né à Ca- _denet (Vaucluse), m. à Paris (1777-1838). A la bataille lArcole, iltraversa la rivière à la nage, et, parvenu wlautre rive, batiit la charge, de sorte que l'ennemi, croyant pris entre deux feux, livra aux Français s du pont (1796). An. (Jules), ponte ste français, né et k M: à Paris an-tèe }. Ses À pr valent par une “remarquable entente de la perspective aérienne. LA DORE Louls-Tutos), architecte français, né et mm. à Paris (1819-1800). Membre de l'Institut (1884).
- Andté (Louis), général français, nè à Nuits-
Saint-Georges (Côte-d'Or, en 1838, m. à Dijon en 1913, ministre de la güerre de 1901 à 1905. "Andre (Charles-Louis-François), astronome fran- çais, né à Uhauny, m. à Lyon (1842-1912). On lui doit, e,
ç à
outre mémoires, de nombreux ouvrages de phy- sique ct d'astronomie. Il était Correspondant: de l'Académie des sciences,
André Cornéli Paul et fine étude de DA F sé, le sujet d'Hawnlet.
ndrea del Sarto. V. Sanro. Andrea Pisano. V. Pisaxo. andréacées {sé} n. f. pl. Famille de mousses ralement noirâtres, vivant sur les roches. S. une
” Andreani (Andrea), peintre et graveur italien, né à Mantoue vers 1560, m. en 1623. , REA (iLæs), groupes d'iles volcaniques, ipel des Aléoutiennes. asberg, v. de Prusse Hanovre!, près de
- 4.600 h. Mines de plomb et d'argent.
{dré] (Salomon-Auguste!, explorateur suédois, né à (Daléearlie) en 1854, En 1897, il partit “prod £n ballon vers le pôle nord, et ne us,
Bourget (1887), lon, où est repris, moder-
{
_ … Andreiev (Léonide), romancier russe, né dans HE d'Orel (1871-1919), auteur de : l Epou-
, de Gouffre,-le Rire rouye.
andrène n. f. Genre d'insectes hyménoptéres. de
Ja famille des apidés, et comprenant des abeilles soli- taires. répandues surtout dans l'hémisphère boréal. Andréossi (François), ingénieur français, né & Paris, m. à Castelnau (1633-1688: : pue pau ue à la construction du canal du Midi. — Son . ére-pétitfils, AXTOINE-FRANÇOIS, général et di- E français, né à Castelnaudary, m. à Montair- (1761-1828), seconda Bonaparte au coup d'Etat
dui ae re
And 3 Comm. de Seine-et-Oise, arr. et À h. érsailles, s du confluent de la Seine "et de l'Oise; 1.410 h. Ch. de f. E. Là se tinrent les conférences pour la conversion de Henri LV. Andrews /Thomas), physicien anglais, né à . Belfast (1813-1886). Il s'est surtout occupé de l'étude du gaz. ct du développement de la eur dans les ous chimiques. Andrews (Joxeph}, roman de Fielding. qui inau- gura la réputation du romancier (1742, Les aven-
tures d'un laquais et d'une servante, compliquées de pe multiples, forment le sujet de cette œuvre umoristique. Andrezé, comm. de Maine-et-Loire, arr. et à 15 kil, de Cholet ; 1.200 h, Ch. def, Mouchoirs et toiles, Andrézieux, comm. de la Loire, arr, et à 19 kil, de Montbrison, sur la Loire : 1.370 h. Ch. de f. P.-L.-M. Briqueterie, verrerie, carrelages céramiques, tresses et lacets, Andria, v. d'Italie (prov. de Bari: : 37.500 h. Andrienne {l'}, comédie de Térence (166 av. J.-C) La pièce est habilement construite, le Caractère bien soutenu, et il y a dans le dialogue une facilité élé- gante ; imitée par Baron (1703), Andrieu (Bertrand, graveur sur médailles, né Bordeaux, m, à Paris (1761-1322. Sa médaille sur Prise de la Bastille est célèbre. Andrieux {dri-ei] [François . littérateur ct te français, nè à Strasbourg, m, à Paris (1759- 833); auteur d'élégantes fables, d'agréables comé- dies, ét de contes en vers, dont le Meunier Sans-Souci est resté plus célèbre, Pr du Tribunat, secrétaire pese de l'Académie û
t, v. de
Belgique (prov. de Liége,
arr, de Verviers), sur la
Vesdre ; 5.000 h,
andrinople n. f. (de la v. d'Andrinople.. Etoffle de coton à bon marché, généralement d'une couleur rouge appe- lée rouge d'Andrinople ou rouge andrinvple.
Andrinople, v. de urqties ch.-1. de vilayet. L sur la Maritza, tributaire de l'Archipel : 56.000 h. fandrtropolitains . Arsennl:; fonderie de canons;
ndustr.e trés florissante; tissus de soie, laine,
cotons ; Eu parfums. Constantin y vainquit Lici- nius en 323; les Goths y battirent Valens (378, Le sultan ture Amurat Ier s'en empara en 1360, les Rus- ses en 1829, les Serbes et Bulgares en 1913. Le tsar y signa en 4829 avec les Tures un traité par lequel ceux-ci reconnaissaient l'indépendance de la Grèce, et cédaient à la Russie les bouches du Danube. Pendant Ja guerre des Balkans (1912-1913), la ville a été prise par les Bulgares, puis réoceupée par des Turcs.
AndrisCus {dris-uss!. aventurier grec, qui se fit passer pour le fils de Persée et fut vaineu à Pydna par Metellus (146 av. J.-C.).
océe [sé) n. m. où andrœæcie [dré-sf] nf. (du gr. anér, andros, homme, et oikia, maison). Bot, Ensemble des organes mâles d'une fleur, V. PLANTES (planche).
Androclès {Hléss), esclave romain, héros d'une histoire touchante racontée par Aulu-Gelle, Livré aux bêtes dans le cirque romain, il fut épargné par un lion. L'empereur se fit amener Androclès, qui lui apprit que, fugitif en Afrique, il avait délivré ce lion d'une épine qui lui traversait la patte, et qu'il avait vécu trois mois dans un antre avec le fauve. L'em-
reur lui accorda la vie, et lui fit présent du lion,
m rappelle le nom d'Androclès quand on veut faire allusion à la reconnaissance des animaux.
Androgée ji, fils de Minos et de Pasiphné, célèbre par sa force prodigicuse. Il se rendit à Athènes, où il obtint de tels succès aux jeux des Pa- nathénées, que le roi Egée le fit tuer par jalousie, Minos le Hire en prenant Athènes, êt en imposant le tribut du Minotaure.
androgénie fnf! n.f. (du gr. anër, andros, homme, et genesis, génération], Ce qui concerne la RÉRRESLOSEOR de l'homme, Succession des mâles aux males.
androgyne n.m. et adj. (du gr. anér, andros, homme, et guné, femme). Qui tient des deux sexes: hermaphrodite : divinité androgyne. Bot. Se dit des végétaux qui réunissent à Ja fois des fleurs mâles et des fleurs femelles, comme le noyer, le noisetier.
androïde {dro-i-de] n. m. {du ge. anér, andros, homme, et eidos, aspect). Automate à figure humaine,
androlâtre n. Qui pratique l'androlâtrie,
androlâtrie [rrf}n. f. (du gr. anér, andros. homme, et latreia, culte). Culie divin rendu à un homme,
Andromaque, femme d'Hector et mère d'As- tyanax. Après la prise de Troie, elle devint l'esclave de Pyrrhus, fils d'Achille, qui eut d'elle trois fils, puis la répudia et la donna en mariage à Hélénus, irère d'Hecior, Andromaque est une des plus belles figures de l'{liade, par sa profonde affection conju- gale et maternelle, ses malheurs et sa touchante résignation.
Andromaque, iragédie d'Euripide ‘420 av, J.-C.:;
inture supérbe des mœurs dés temps barbares. Racine, en plusieurs endroits, s'en est inspiré.
Andromaque, tragédie de Racine, représentée en 1667, la premiére où se révèle le génie de Fauteur, qui n'avait alors que vingt-sept ans. Elle opéra une révolution dans l'art dramatique, C'est une œuvre
lnirable de psychologie passionnée et profonde. ilermione, Andromaque, Oreste et Pyrrhus en sont les personnages principaux, Elle renferme de beaux vers souyent cités
Qui, puisque je
Ma fortune va
Aadrioux,
vous vous rendez justice, sûcurs cmbrassé d'aujourd'hui. cours, mais crains encor d'y trouver Hermione. urquoi l'assansiner? qu'a-t-il fait? À quel titre? Qui te l'a dit 7... Pour qui sont ces serpents qui sifflent sur vos Lôtes ?
L'œuvre, très admirée jee les uns, critiquée parles autres, fut parodiée : /a folle Querelle, de Subligny,
Andromaque (la Douleur d', tableau de Louis David (Ecole des Beaux-Arts, Paris, 1785. Andro- manque exhale sa douleur prés du s de son mari, tandis que son fils Astyanax cherché à la consoler ; œuvre expressive et bien composée, V. p.77.
ÂNE
Andromède, fille de Céphée, roi d'Ethiopie, et de Cassiopée. Celle-ci ayant eu la témérité de nie ter le prix de la beauté aux Néréides, Neptune, pour venger ses nymphes, suscita un monstre marin qui désola tout le pays. L'oracle, consulté, répondi ! qu'il
it exposer Andromède aux furcurs du monstre. La princesse, liée sur un rocher par les Néréides, allait être dévorée, lorsque Persée, monté sur son cheval ailé Pégase, tua le monstre, brisa les liens d'Andro- mède, ct devint son époux.
Androméde délivrée par Persée, tableau de Rubens ; — tableau du Guide: — tableau de Burne- Jones; — groupe du sculpteur Puget (Louvre), V. PEnsés.
Andromède, tragédie-opéra de P. Corneille (1660), pièce pleine d'un sentiment profond, dont Racine s'est inspiré dans Jphigénie. Corneille s'y révéla le précurseur de Quinault et l'initiateur de l'opéra mo- derne,
Andromède, constellation de l'hémisphère bo- réal, située sur le prolongement de la diagonale du carré de Pégase, au-dessous de Cassiopée ; les trois principales étoiles (Almach, Mirach, Alpherat! for- ment une longue ligne un peu brisée, V. PÉGASE.
dronic {saint}, martyr à Jérusalem, aù 1ve siècle. Fête le 9 octobre. — Martyr à Tarse, en Cilicie, au 1ve siècle, Fête le 11 octobre. ,
Andronic I‘ [nik}, Comnène, empereur d'O- rient de 118$ à 1185. I Êt étrangler Alexis 11 pour s'emparer du trône et fut renversé par Isaac l'Ange (1110-1185). — AKDRONIC II, Paléoloque, empereur de 1283 à 1328, vit son royaume dévast r les Tures, et fut dépossédé {vers 1258-1322). — Axbronic III, le Jeune, petit-fils d'Axbronie II, empereur de 1226 à 1328, délrôna son grand-père et combattit vaillam- ment les Turcs (vers 1296-4361) — Anxproxic IV, Paléologue, détrôna son père Jean VI, mais ne put conserver que quelques mois le pouvoir (1377),
Andronicos /{koss!, architecte grec du 1er siè- cle av. J.-C.;né à Cyrrha, ep Macédoine. Il construi- sit à Athènes lascurieuse Tour des Vents. encore admirée aujourd'hui, V. TOUR.
Andronicus {#kuss] (Livius), le plus ancien poète dramatique latin. Grec d'origine, il avait été esclave, et jouait lui-même ses pièces (11e s. av }
andropétale n. m. (du gr. anér, andros, mâl et petalon, pétale), Pétale provenant de la métamor- phose d'une étamine.
androphobe adj. et n. (du gr. anêr, andros, homme, et phobos, crainte). Misanthrope. Qui fuit au déteste le sexe masculin,
androphobie {&f) n. f, (de androphobe}. Aver- sion, haine des hommes.
andropogon n. m. Genre de graminées dont on connaît plus de deux cents espèces, très répan- dues dans les régions chaudes et tempérées. (Quel- ques-unes sont utilisées en médecine et pour les usages domestiques.) V, VÉTIVER,
Andros {dross), île la plus septentrionale des Cyclades ; 18.000 h. (Andriens); à la Grèce. Vins, fruits, V. pr. Andros; 2.600 h.
androsace {za-s) n.m. Bot. Genre de primu- lactes, dont une espèce, qui croit en France, est uti- lisée en médecine comme diurètique.
Androtion, orateur athénien, un des adver- saires de Démosthène {vers 320 av, J.-C.).
Androuet du Cerceau. V. Du Cencrau.
Androussov, village de Russie (gouv. de Smolensk), connu par le traité de paix qu'y signè- rent la Russie et la Pologne (1667).
Andujar, v. d'Andalousie (prov. de Jacn, sur le Guadalquivir: 15.200 h. Fabrication de poteries, alcarazas, etc, A Andujar fut rendue, en 1824, le duc d'Angouléme, une ordonnance célébre ayant pour but de concilier les royalistes et les libéraux, mais qui resta malheureusement sans grand effet,
Anduze, ch.-1. de e. (Gard), arr. et à 14 kilom, d'Alais, sur le Gordon d'Anduz L Andusiens). Ch, de £ P. M. Papeterie, poterie; plomb argen- tifère. Mûrie — Le cant, a 8 comm. et 8.700 h.
âne n. m. {lat. asinuws). Mammifére solipède do- mestique, plus petit que le cheval et à longues oreilles. Fiy. Homme ignorant ou entêté. Ans bâté même sens renforcé. L'äne du moulin, celui sur q tombent t les coups et tous les reproches, Mener l'âne ér faire par les autres ce qu'on voudrait faire soi-même. Vouloir tirer un pet d'un âne mort, vouloir l'impossible, rie d'étau. En dos d'âne, présentant une arète médiane ct deux versants oppo- sés, Bonnet, oreilles d'âne, coiflure à longues oreil- les, qué l'on mettait à un écolier pour lepunir. Pont aux ânes, difficulté qui n'arrête que les ignorants. Ans de Buridan, v. BUrIbAN Machoire d'äne de Samson, v. Samsox. L'âne chargé de reliques, L'âne vétu de la peau du lion, allusions à des fables de La Fontaine, v. PEAU, et RELIQUES. PROv. : Le plus âne des trois n'est pas celui qu'on pense, allusion à La fable de La Fon- taine : le Meunier, son fils et l'Ane. (On remplace souvent le mot dne par tout autre, approprié aux circonstances.) Faire l'âne pour avoir du son, faire l'idiot pour attraper des dupes. Coup de pied de l'Ane, allusion à la fable de La Fon- taine: de Lion de- venu vieux, insulte è u'adresse un homme ve. lâche ou faïble à ” celui dont il n'a plus à redouter la force ou le pou- voir, Faute d'un point, Martin perdit son âne, il manque parf( fort peu de chose pour qu'une partie soit pe ou qu'une affaire réussisse, I! y a lus d'un ân oire qui
à beaucoup de personnes portent le même nom.
— Excyes. Zoo!. Il est à peu près certain que l'âne sauv: d'Abyssinie, ou onagre, est la souche des
s'appelle Martin,
ânes domestiques. L'âne est recherché à cause de sa patience, de sa sobriété et de sa robustesse, L'âncese fournit, outre son travail, d'excellént lait, qui, par sa composition, se rapproche be à lait de la femme, Lu chair de l'ânon, assez entre dans la composition du saucisson de Lyon. C'est princis
