Page:Lathom - La Cloche de minuit v1.djvu/271

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étoit sur le point de se jeter à genoux, et de s’efforcer d’émouvoir la pitié de son guide, lorsqu’une voix, à peu de distance d’elle, s’écria : « Lauretta Byroff ! »

« Oh Dieu ! qu’est-ce que j’entends, dit Lauretta ? »

Ils étoient encore dans la forêt. Théodore dit à l’homme qui conduisoit Lauretta de s’arrêter. Celui-ci obéit. Ils regardèrent de tous côtés, autour d’eux. Ils n’apperçurent personne. Tout étoit tranquille.

« Voilà qui est bien extraordinaire, dit Théodore. Ces paroles vous étoient adressées, ajouta-t-il, en se tournant vers Lauretta. Que signifient-elles ? Je veux le savoir. »

« Je l’ignore, répondit Lauretta. »

« N’est-ce pas là votre nom, reprit Théodore avec vivacité ? »

« Vous savez que mon nom est Lauretta. »