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Page:Latil - Les Éphémères, 1841.djvu/156

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Mon Dieu, ma voix t’implore
À ma dernière aurore,
Sur ma sœur daigne encore
Étendre ta bonté ;
Et bientôt puisse-t-elle,
À l’amitié fidèle,
Reparaître sur l’aile
De la félicité !!!

Octobre 1839