Page:Latil - Les Éphémères, 1841.djvu/71

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ODE À BÉRANGER


 
Salut ! barde immortel, noble fils de génie,
Qui chantas les hauts faits de ta belle patrie !
Salut ! toi qui bravas un pouvoir détesté,
Et, prenant à deux mains ta brûlante lanière,
Fustigeas les suppôts d’un faible ministère
Qui pensait étouffer la sainte liberté !