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infiniment des charmes. On invite les amateurs à en essayer la conquête déjà inutilement tentée par un militaire qui, jadis trouva peu de cruelles ; mais depuis la confusion des ordres et la violation de leurs sermens, les militaires persuadent difficilement les belles, attendu qu’elles ne peuvent plus en conscience se fier à un serment qu’ils leur feroient.

Baye, Agnês, marchande de modes rue de l’ancienne Comédie.

Barbier, Eulalie, et Catherine Solland, son associée, marchandes de modes rue de la Féronnerie.

Boileau, Louise, Peintresse en miniature rue du Petit-Lion Saint-Sulpice.

Bertrand, Catherine, chez sa mère rue du Bercy.

Beaumenil, Eulalie, chanteuse à l’opéra, chaussée d’Antin.

Bardin, Mimie, chez son père, épicier rue de la Harpe.

Beauregard, Séraphine, repasseuse, chez son père boissellier, près l’hôtel Tanchoux, passage du Marché-Neuf.

Berceville, Henriette, femme de chambre de madame la duchesse de Lorges, au Louvre.