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Page:Laurenceau - Le Petit neveu de l'Arretin, ouvrage posthume trouvé dans le portefeuille de son grand oncle, BnF Enfer-373, 1800.djvu/122

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Que quand la casserole
A flétri ses attraits.
Ma pine
Le con est bien dangereux,
Il mine
Les engins les plus nerveux.


Autre.

Air : Vive le vin, vive l’amour.

Vivent les cons ! vivent les culs !
Fouteur, enculeur des plus drus,
Je me fous de la chaude-pisse,
Et puisqu’il faut que je périsse,
Je ne mourrai qu’en enculant ;
Si la vérole avec un con me prend,
Je veux qu’un cul me la guérisse.

Fin.