Oh !
Oh ! oh ! oh !
Tous deux tombent de faiblesse.
Ah !
Ah !
Voyez ! (s’appuyant sur Bellerose.) Et moi aussi… ah ! je me trouve mal !
Elle se trouve mal !… Mais je me trouve bien, moi.
Ces pauvres petits !
Sont-ils gentils !
Je m’attendris.
Ah ! j’en gémis.
Et moi aussi ! (Ils se mouchent bruyamment.)
Silence dans les rangs !
Ces pauvres enfants ! Vous n’aurez pas la barbarie de leur refuser quelques instants pour se réconforter ?
Hum !… À vrai dire, on n’est point un rhinoféroce. (Il se mouche ; tous les soldats recommencent.) Silence !… En somme, quelques moments de plus ou de moins…
Ostensiblement, sergent.
Allons, je réobtempère.
Vous permettez ?… Alors, vite, monsieur, vite, mademoiselle ! (Elle court au guéridon.) Monsieur Bellerose, je vous revaudrai ça.
J’y compte lien. (Haut, à ses soldats.) Reposez vos armes ! (Aux deux soldats qui ont amené les jeunes gens et qui sont restés à la porte.) Retournez au poste, on n’a plus besoin de vous. (Aux autres.) Et