l’impression de violentes passions, surexcitées sys-TÉ-ma-TI-quement par les capitalistes : possédant des fonds de roulement, pour l’établissement de maisons qui font en tant de commerce à petits bénéfices, doivent pourtant sauvegarder la morale publique et la VÉRITÉ, deux éléments indispensables à l’existence autant que le boire et le manger hygiéniques : condition sine quâ non du prestige de la médecine dans un pays rival des puissances voisines, l’objet de toutes les convoitises à cause de ses riches produits en céréales et alcools, moins en combustibles et en métaux à cause de la paresse acariâtre de ses fanatiques habitants excusés seulement par les augmentations de chaleur du soleil et des inventions de chauffage à l’intérieur des établissements. »
Voyons, est-ce que cela ne vaut pas la prose de M. Poictevin, de M. Léo d’Arkaï ou de M. Louis-Pilate de Brinn’Gaubast ?
Voici maintenant de la poésie ou du moins quelque chose qui a la prétention d’être des vers :
Des misères ne la vie
J’ai cherché
D’émanciper
Les chances de l’avenir,
Augmenter
Les baisers
De mes beaux jours.
J’ai essayé les charmes