I. Le millier. — II. Les génitures. — III. La neuve évolution. — IV. Le monde mortel. — V. Le devenir.
On pourrait croire qu’il s’agit là d’une œuvre immense, colossale. Or, le volume dit : En méthode à l’œuvre, remplirait à peine les deux colonnes d’un article de journal. Je sais bien qu’un bon sonnet vaut quelquefois mieux qu’un long poëme. Malheureusement ce n’est pas le cas ici. Je fais grâce aux lecteurs de ce galimatias incohérent d’où il est impossible de dégager une idée. Voici toutefois la dédicace.
Attestant que ton nom de souffle, ô Épouse à
lancer de tes mains de repos mes songes, là
instamment est ! perpétuel d’être mon souffle :
Comme porteuse au plus futur d’heur et d’amour
et de serment, va vers demain l’Œuvre d’espoir.
Voilà qui en dit en effet plus qu’un long poëme