Page:Lavignac - Le Voyage artistique à Bayreuth, éd7.djvu/455

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Aussitôt que Siegfried, sur deux rappels successifs du Gardien de l’Épée, a fait voler en éclats l’arme forgée par Mime, apparaît un nouveau motif plein d’entrain : L’Amour de la vie, qui va régner pendant une bonne partie de la scène ; c’est plutôt l’exubérance de la vie, la joie de vivre qu’il y faut voir, une joie presque enfantine.

L’AMOUR DE LA VIE
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