bANS LES TERKES CALCAIKES. l^f
bien graiiïes : on verra dans la luite d'autres ufages de cette même pompe.
Puer A RATION DE l'E XPÉRIENCE.
J'ai mîs dans la phiole I, fig, première , une
once 5c demie du même acide nîtreux employé
dans l'Expérience première; j'ai mis dans le bocal
Q , 4 gros 53 grains de la même craie deflechée
^u degré du mercure bouillant. J'ai élevé l'eau
jufqiies en Y Y, comme il eft dit ci-defTus , & j'ai
introduit une couche d'huile fur la furface de
l'eau ; enfin j'ai fait la combinaifon par le moyea
de la bafcule , en obfervant d'aller lentement
pour éviter que la liqueur ne pafTât par-deflus les
bords du bocal , par la vivacité de l'effervef^
çence.
Effet,
L'eau a baiffé tout-à-coup dans le bocal N N O O , & elle s'eft arrêtée à 7 pouces f au- deflbus de la furface Y Y, Le bocal en cet endroit ^voit 70 lignes ^ ; d'où il fuit que la quantité ^e fluide élaftique dégagé étoit de 206 pouces cubiques ; mais au bout d'un quart d'heure , le peu de chaleur produit pendant la combinaifon s'étant dinTipé , cette quantité de fluide élaftique ,§^eft féduite à 200 pouces ; après quoi il n'y a
�� �