DAKS LHS TERBT:S CALCAtRES. 21^
nouveau, & la liqueur devient parfaitement dia- phane.
J'examinerai dans un Chapitre particulier les effets de l'eau ainfi chargée d'ime difloîution de terre calcaire combinée avec le fluide élaftique.
Conclusion de ce Chapitre»
En rapprochant les différentes Expériences dont je viens de rendre compte , il eft difficile de fe refufer aux conféquences qui fuivent.
Premièrement , qu'il exifte dans les pierres 8c terres calcaires un fluide élafl:ique , une eOjhcQ d'air fous forme fixe , & que cet air , lorfqu'il a repris fon élaflicité , jouit des principales pro-. priétés phyfiques de l'air.
Secondemxent , que cent livres de craîe dans les proportions ci-deffus, contiennent environ 31 livres ly onces de ce fluide élaftique , ij livres 7 onces d'eau . & feulement 5*2 livres 10 onces de terre alkaline.
Troifiémemenr, qu'il feroît même poffible que la craie contînt encore moins de terre alkaline ; de plus de fluide élaftique, mais que, jufques à préient , nous ne connoiiTons aucun moyen de l'en dépouiller au-delà, ni de porter plus loin foa analyfe.
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