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préclfion & la fcrupuleufe exadVituJe avec Ia«- quelle il en a conftaté toutes les circonftances.
Les Expériences publiées par Meflieurs Black» Jacquin , Prieftley & autres, ajoutées à celles du célèbre Haies , avoient appris, comme nous Ta» vons déjà indiqué dans la première Partie de cet Extrait , que les effervefcences obfervées dans la diiTolution des terres calcaires non calcinées &: des alkalis fixes ou volatils non cauftiques , lorf- qu'on les combinoit avec un acide quelconque , étoient dues au dégagement d'une quantité con- fidérable d'un fluide élaftiqiie qu'on a pris d'abord pour de l'air de l'atmofphère , peut-être chargé de quelques Fubftances hétérogènes ; on fçavoic encore que les propriétés des terres calcaires & des alkalis dépouillés de ce fluide par la calcina- tion ou autrement , étoient très-diftérentes de ce qu'elles étoient auparavant , & que ces fubfi:ances fe trouvoient alors privées particulièrement de celle de produire de reffervefcence avec les aci- des ; on fçavoit enfin que le fluide dégagé des efi^ervefcences dont il s'agit, pouvoit fe combiner avec l'eau , avec d'autres matières , Ôc finguliere- ment fe recombiner de nouveau avec les terres calcaires & les alkalis qui en avoient été dépouil- lés , 6c que ces dernières fubftances xeprenoient
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