DU CALoBrMÈ'1‘nE. 39;- La figure 8 reprêîente un (eau de tôle dell tiné à recevoir les corps fur lefquels on veut opérer; il ell garni d’un couvercle percé dans I`on milieu , 8; fermé avec un bouchon de liége , traverlé par le tube d’un petit thermomètre. La figure 9 de la même planche reprélente un matras de verre dont le bouchon ell éga- . lement traverfé par le tube d’uu petit thermo- mètre, dont la boule 8: une partie du tube plonge dans la liqueur; il faut le fervir de lemblables matras toutes les fois que l`on opère Ihr les acides , & en général (ur les litbllances qui peuvent avoir quelque aâion (ur les métaux. R S, fgure IO , efl un petit cylindre creux que l’on place au fond de la capacité intérieure pour foutenir les matras. Il ell ellentiel que dans cette machine, il n’y ait aucune communication entre la capacité moyenne 8: la capacité extérieure; ce que l’on éprouvcra facilement en rempliflant cl’eau la capacité extérieure. S’il exiiloit une communi- cation entre ces capacités, la glace fondue par Yatmofphère dont la chaleur agit (ur Yenveloppe de la capacite extérieure, pourroit palier dans la capacité moyenne, 8c alors l’eau qui s’écou- leroit de cette dernière capacité, ne feroit plus · la meüire du calorique perdu par le corps mis en expérience.
Page:Lavoisier - Traité élémentaire de chimie.djvu/447
Apparence