DE LA DISTILLÀTION comrosân. gw
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C H A P I T R E V Is Dc.: Dëiillatiozzs przzumazo -¢lzZmiqué;t , des . Dwxlzzziozzs métalliques , G de quelques autres ` opémzions qui exigent des Appàmils trés- complique?. §. 1·_nsM·z nu. Dc: Dé/Zillaziorzs compo/ëes , 6* des DÃ/lrllations pncunmw-ckimigue:. J E n’ai ptelemé dans le §. 5 du Chapitre précédent , la diliillation , que comme une opé- . ration limplc, dont Pobjet ell de fépatet l’uue de Pamre deux fub[ia'¤ces'de volatilité diffé- rente : mais le pluspfouvent la diilillatîou fait plus; elle opère une véritable décompolition du corps qui y eü foumis: elle fort alors de . la clafle des opérations fimples, 8: elle rentre ._ dans Potdre de celles qu’ou peut regarder comme des plus compliquées de la chimie. Il ell fans doute de 1’efl`ence de toute dîfiillatiou, que la [`ubPc2u1ce que l’o¤ dillille foît réduite à l’état de gaz dans la cucurbite par fa combi- naifou avec le calorique; mais dans la diiiilla· F f
