Page:Lavoisier - Traité élémentaire de chimie.djvu/510

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45*6 D12 LA Dtsœrntmrtou comvoszâzzs. ue Pouvrir qu’au belbin, ou lorsqu’il y et allez de liquüe dans le matras C pour fermer l’ex, trêmité du tube.

Uappareil dont je viens de donner la dell oription, ne peut pas être employé dans des expériences exaéles, toutes les fois que les matières qu’on se propole de traiter ont une action trop rapide l’une sur l’autre, ou lorsque l’une des deux ne doit être introduite que fuceéflivemeut Sc par petites parties, comme il

arrive dausles mélanges qui font une violente ellervelcence. On le sert alors d’une cornue tubulée A, planche VH, fg. J. On y introduit Puue des deux substances, & de préférence celle qui est concrète`, puis on adapte 8 : on ’ lute à la tubulure un tube recoutbé B CD A terminé dans la partie supérieure B en CIRQUuoir, 8 : par fou extrémité A en un tube capillaires c’e[l par l’entonnoir B de ce tube qu’on vétîe la liqueur. Il faut que la hauteur B C loir : allez grande pour que la liqueur qu’on doit introduire Puiile. faire équilibre avec la rélillttnce eccalïounée par celle contenue dans les bouteilles LL’L"L"’, planche IV, figure L

Ceux qui n’ont pas Phztbitucle de le lervîr de l’appareil diffillatoîre que je viens de decrire, ne manqueront pas de s’eH’rayer de la grande quantité d’ouvertures qu’ou est obligé