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Page:Lavoisier - Traité élémentaire de chimie.djvu/520

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@6 DE LA nûcomvosrrrou ms L’EAU· de canons chez les marchands de féraille. On î doit choilir les plus longs 8: les plus forts: _ lorfqtfils font trop courts 5: qu’on craint que les luts ne sïîcliauflent trop , on jr fait fouder en fouclure forte uu bout de tuyau de cuivre. On place ce tuyau de fer dans un fourneau allongé CDEF, planche VIl,fg. II , en lui L donnant une inclinailon de quelques degrés de E en F : cette inelinaifon doit être un peu plus grande qu’elle n’eIl_ préfentée dans lafg. 1:. On adapte à la partie îilpérieure E de ce tuyau, une cornue de verre qui contient de l’eau 8: ` qui ell placée Iirr un fourneau VVXX. On le inte par fon extremité inférieure F avec un ferpentin ss',` qui s’eclapte lui-même avec un flacon tubulé H , où fe rallemble Peau qui a échappé à la décompofition. Enfin le gaz qui fe dégage eff porté à la cuve où il eff reçu fous des cloches par le tube KK adapté à la tubu- lure K du flacon H. Au lieu de la cornue A, on peut employer un entonnoir fermé cl’un ro- binet par le bas , 8: par lequel ou laiffe couler A l’eau goutte â goutte. Si·tot que cette eau ell parvenue à la partie où le tube elf échaulië, elle fe vaporife , 8: l’expérience‘a lieu 'de la même manière que ii elle étoit fournie en va- peurs par le moyen de la cornue A. Dans l’er<pêrience que nous avons faite,