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Page:Lavoisier - Traité élémentaire de chimie.djvu/535

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PQUR LA COMBUSTION. 4,8; · en un point ellentiel. Il y a bien dans la dillil- lation féparation d’t1ne partie des principes du corps que l’0n y Foumet , 8: combinailon de ces mêmes principes dans un autre ot·dre,détermine par les afïinités qui ont lieu à la température à laquelle s’c[l opéréelà diliillation ; mais il y a plus dans la combuflion , il y 21 addition d’1m nouveau principe , Poxygêne , 8: diiiipation d’un autre principe , le calorique _ Cell cette nécefïité d’employer Poxygène · dans i’état de gaz & d’€l1 déterminer rigoureu- ['ement les quantités , qui rend fi €l'UbZll'l'Hii-ÃIUKSS les expériences relativesà la combuilion. Une autre difliculté inféparable de ces opérations, tient a ce que les produits qu’elles f`ournill`en1: fe dégagent: preligue toujours dans l’état de gaz: fi donc il ell dillicile de retenir 8c de railembler les produits de la dillillation, il Pell: bien davantage de recueillir ceux de la com- . buliiong aulli aucun des anciens Chimilles n’en a- t-il eu la prétention , 8: ce dfexpérience appartient-il abfolument à la Chimie moderne. Après avoir rappelé d’une maniere générale le but qu’on doit fe propofer dans les diffé- rentes expériences relatives â la combuflion , je pafle à la defcription des différens appareils que fai imagines dans cette vue. J e 11’adopterai dans les articles qui compoferom ce Chapitre, au- H h