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Page:Lavoisier - Traité élémentaire de chimie.djvu/594

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540 Du Founueau ne nnvennàzœ. gée ell à peu près proportionnelle à la quan- tité d’air qui paflè par le fourneau , il en ré-ûxlte que ces fourneaux ·1e produifent pas tout l’cB`et qu’on pourroit delîrer dans un grand nombre éfopérations. Pour admettre d’abord par le bas un volume d’aîr fulfîfant , il faut , au lieu d’une ouverture G au cendrier, en avoir deux GG: on en condamne une lorl`qu’on le juge àpro- pos, 8: alors on n’obtieut plus qu’un degré de feu modéré; on les ouvre au contraire l’une da Feutre , quand on veut donner le plus grand coup de Feu que le fourneau puîile produire. Houverture luperieure SS du dôme, 'aînfi que celle des tuyaux VVXX, doit être aum beaucoup plus grande qu’0n n’a coutume de la faire. Il ell important de ne point employer des cornues trop groilès relativement à la grandeur du fourneau. Il fut qu’îl y ait toujours un eC pace lnüîfant pour le paëlage de Pair entre les parois du fourneau 8: celles du vaîlleau qui y ell contenu. La cornue A dans la Jîgzzre 2 ell un peu trop petite pour ce fourneaux, 8; je trouve plus facile d’en avertir que de faire rcêlilîer la Hgure. . · Le dôme a pour objet d’obliger la flamme -- & la chaleur à environne: de toutes parts la ` cornue 8; de la 1`éV€)§l}élC€l‘ 5 c’cfl de-là qu’e[l