EMPLCI DU GAZ OXYGÈNE. yyy égale à celle du rubis , perdent facilement leur Couleur; que la mpafe de Saxe, la topale 8; le rubis du Brefil non-feulemenr. fe clécolorenc promptement à ce degré de feu, mais qu’ils perdem même un cinquième de leur poids , & qn’il rclle , lorfqxrils ont fubi cette altérauorx, une terre blanche femblnble en apparence à du quartz blanc on à du bîfcuît de porcelaine; enfin que Pémérmicle , la cnryfolite 8: le grenat fondent prefqneüir-le—cha1np en un verre opa- que 8: colore. _ 1o°. Que Pegarrl du diamant , il préfenze une propriété qui lui ell tonte particulière , pelle de fe Brûler à la manière des corps com- bnflibles 8: de fe dïlïper emièrement. ll efl un autre moyen dont je n’ai point encore fait Mage, pour zxugiuenter encore da- vantage Paélïviré du feu par le moyen du gaz oxygène; c’e[l de Pemployer à fonfller un feu de forge. M. Acliard en zz en la première idée; mais les procédés qn’il 21 employés 8: au moyen defquels il croyoit clêphlogîlliquer fait de ·l°a:— mofphère, ne Pont conduit à rien de fatisfai- faut. L’appreil que je me propofe de faire conflruire, fera très-fimple: il confiüera dans un fourneau ou efpèce de forge d’une terre extrêmement réfraélzzire; fa figure ['era â peu près femblable à celle du fourneau repréfcmë
