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LE BAISER FATAL
nerveux et brûlants entourent son cou mouillé par l’orage, et deux lèvres de feu se collent à ses lèvres et les consument dans la douleur et l’amour.
Il roule sur la terre humide, à la porte de la grange, avec le fantôme. On se hâte de le relever. Le spectre le tient toujours dans ses embrassements mortels.