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Page:LeMay - Deux poëmes couronnés par l'Université Laval, 1870.djvu/234

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hymne national


 Ô Patrie adorée
 Est-il une contrée
 Aussi belle que toi ?
 Aux jours sombres d’orage
 Tu puises le courage
 Dans l’amour et la foi !
 Tu n’es pas affaiblie
 Par un lâche repos !
 Ô terre des héros,
 Tu n’es pas avilie !
 Non ! j’en appelle à vous,
 Antiques sanctuaires
 Où je prie à genoux,
 Non ! j’en appelle à vous,
 Ô cendres de mes pères !