Page:LeMay - Les épis (poésie fugitives et petits poèmes), 1914.djvu/223

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.
226
les épis


Chaque saison qui fuit, chaque nouvelle année
Nous disent que bientôt l’on verra, terminée,
Notre course en ce lieu.
Et le riche et le pauvre attendront, en poussière
Le redoutable jour où luira tout entière
La justice de Dieu.