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— Qu’y a-t-il ?
Je ne voulus pas l’attrister et je répondis :
— Je ne sais pas.
Mais je grelottais d’épouvante.
Il faut croire qu’on ne meurt pas de frayeur, puisque j’ai survécu à cette nuit-là.
Mon homme trépassa le lendemain, qui était un samedi, sur le coup de dix heures.
(Communiqué par M. Le Mare, instituteur ; conté par une vieille filandière de Pluzunet [Côtes-du-Nord]. — Août 1891.)
à intervalles réguliers de une ou deux minutes (W. Gregor, Notes on the folklore of the North-East of Scotland, p. 203).