Page:Le Braz - La légende de la mort en Basse Bretagne 1893.djvu/158

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l’effaroucher, étant moi-même affolé par l’épouvante. C’est le plus grand de mes remords.

Et maintenant, vous pouvez m’en croire, moi qui ai vu l’Ankou comme je vous vois : c’est une chose terrible que de mourir !


(Conté par Pierre Le Run, tailleur. — Penvénan, 1886.)


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