Page:Le Braz - La légende de la mort en Basse Bretagne 1893.djvu/87

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Il faut croire qu’on ne meurt pas de frayeur, puisque j’ai survécu à cette nuit-là.

Mon homme trépassa le lendemain qui était un samedi, sur le coup de dix heures.


(Communiqué par M. Le Mare, instituteur ; conté par une vieille filandière de Pluzunet [Côtes-du-Nord]. — Août 1891.)


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