sa tendre jeunesse à la débauche la
plus rafinée, ce qui avait presque
anéanti sa puissance virile, il ne pouvait
la retrouver que par des images obscènes
et luxurieuses. C’est pourquoi il
fit venir toutes les femmes de la Dupré,
elles étaient vingt, toutes jolies, il
exigea qu’elles se missent toutes nues,
nous en fîmes autant, et alors commença
la cérémonie qu’on mettait en
usage pour faire croître la lame d’amour
au chevalier B…
Les femmes formèrent à l’entour de nous un cercle, et défilèrent l’une après l’autre, en nous présentant à baiser le sanctuaire de l’amour, ensuite elles vinrent à leur tour rendre hommage au dieu priape ; la cérémonie se termina par un branle général, le chevalier B… et moi étions entourés de nos prêtresses, la Dupré commandait par