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voyez pas aux incroyants[1]. Elles ne sont pas légales pour eux[2] et eux[3] ne sont pas légaux pour elles. Mais donnez-leur[4] ce qu’ils ont dépensé[5]. Ce ne sera pas un péché pour vous de les prendre pour femmes, quand vous leur[6] aurez donné pleinement leurs dots. Et ne retenez pas les femmes incroyantes[7] ; mais demandez ce que vous avez dépensé (pour elles) et laissez-les[8] demander ce qu’ils ont dépensé[9]. C’est le jugement d’Allâh : Il juge entre vous ; car Il est savant ; Il est sage.
11. Et si l’une de vos femmes s’échappe de chez vous (pour passer) aux infidèles, et que votre tour vienne[10], donnez à ceux dont les femmes[11]
- ↑ À leurs maris qui ne croient pas.
- ↑ Les maris païens.
- ↑ Les maris païens.
- ↑ Aux maris païens.
- ↑ Les dots que les maris ont payées pour acheter leurs femmes.
- ↑ Aux maris païens.
- ↑ Les païennes que vous avez épousées.
- ↑ Les maris païens.
- ↑ Pour les femmes croyantes qu’ils ont épousées. — Toutes ces dispositions, qui avaient force de loi à l’époque, ont pour but de rendre légales les situations matrimoniales des femmes croyantes et incroyantes.
- ↑ C’est-à-dire « que vous soyez victorieux et que vous fassiez du butin ».
- ↑ Il y a dans le texte, conformément à la syntaxe arabe : « leurs femmes ».