de (Joseph), Joseph lui dit : « Retourne auprès de ton maître et demande-lui de quel esprit étaient animées les femmes, qui se firent des coupures aux mains. En vérité, Mon Seigneur (Dieu) connaissait leur astuce[1]. »
51. (Le roi) dit (aux femmes) : « Que pensiez-vous, lorsque vous avez désiré Joseph pour sa personne ? » Elles dirent : « Que Dieu nous garde ! Nous ne savons sur lui rien de mal. » Et l’épouse de l’Azîz dit : « Maintenant, la vérité m’apparaît. C’est moi qui l’ai désiré pour sa personne. Quant à lui, il est parmi les véridiques. »
52. (Lorsque Joseph apprit cela, il dit) : « Eh bien ! Que mon maître sache que je ne l’ai pas trompé en secret. Dieu ne dirige pas la fraude des perfides.
53. « Mais je ne m’absoudrai pas moi-même ; car l’âme est encline au mal, à moins que Mon Seigneur (Dieu) n’en ait pitié[2]. En vérité, Mon Seigneur (Dieu) pardonne et exerce la miséricorde. »