cès de sa rage, atome décoré d’un hausse-col, et
toi, vil organe des lois, relégué dans la poussière
des bancs de la grande salle, il est temps que ma
vengeance éclate.
Tous trois, rebut affreux des sinistres destins,
Vous êtes dédaignés par de viles putains.
Je saurai me venger de cet affront infâme,
Je le dois à mon sexe, en un mot, je suis femme ;
Il est temps que l’amour vous donne une leçon,
À la lubricité, reconnaissez mon con.
À genoux et la bouche béante, les trois mirliflors se turent et la lubricité continua.
Vous, prêtre, président, toi, lâche, reste là.
Je vais me préparer à toute ma vengeance
Sans que le moindre mot serve à votre défense.
D’une tête de chien maintenant bien parés,
De tous vos partisans vous serez exécrés,
Et pour mieux vous punir, de tous vos attributs,
Lâches profanateurs, vous serez revêtus.
Ô merveille ! de trois têtes je n’en vis plus qu’une, et les plus laids museaux remplacèrent les visages de Machault, de Montesquiou et de Janson. Je m’écriai alors :