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être bien longtemps à tenir le garçon sur elles, car si c’était moi, je ne laisserais jamais sortir cet engin qui fait tant de bien dans le trou mignon.

— Oh ! cela ne dépend pas de la fille, comme tu le crois.

— Comment donc ?

— Parce que l’on cesse quelque temps de faire cela et l’on recommence ensuite.

— Vraiment ! moi, je croyais, dit Fanchette, que cela durait toujours ; expliquez-moi donc comment cela se fait, pourquoi on finit et recommence, et qu’est-ce qui fait qu’on ressent tant de plaisir l’engin du garçon étant dans le trou à pisser de la fille, puisqu’en y mettant le doigt ce serait la même chose.

— Il faut d’abord que tu saches que l’engin d’un garçon est enveloppé d’une peau douillette et unie, agréable au toucher ; il est dur, plein de nerfs au dedans, et l’on sent cela par-dessus cette peau, qui est mouvante ; il est fort, excepté vers la tête, qui est composée d’une glande de chair tendre et délicate ; le long de cet engin il y a un tuyau qui paraît enflé comme une grosse veine, qui aboutit à la tête et où il y a une petite fente en long tournée du même côté que celle que nous