saurais remuer ; alors il me conte ses peines, puis
il met sa main sur le sein, et tout en me maniant
à gogo les tetons, il me fait le détail de tout ce
qu’il a fait dans le cours de la journée et ajoute :
que je suis heureux d’avoir un tel ordinaire !
Alors je le sens qui se tourne sur le côté et qui se
dispose à m’enfiler. Je lui dis quelquefois : mon
cœur, mon ami, je dormirais bien. Mais lui, sans
faire semblant de m’écouter, me met la main sur
le ventre, et quand il trouve la chemise, il la
lève, et m’appuie la main sur la motte ; qu’il pince
et frise quelque temps avec les doigts ; après il
met sa bouche sur la mienne, et me coule sa langue
entre les dents ; ensuite il me touche les fesses,
les cuisses, de là retourne au ventre ; tantôt il me
suce une mamelle, tantôt l’autre, et pour satisfaire
sa vue, il ôte la couverture et le drap, me
fait quitter ma chemise et approche la chandelle
pour promener ses regards sur toute ma personne.
Après il me fait empoigner son dard qui est raide
comme un morceau de bois et me prend à bras-le-corps,
me fait rouler sur le lit, puis il me baise
la bouche et les yeux, m’appelant son cœur et son
âme ; ensuite de cela il monte dessus moi en me
faisant entrer son gros membre dans la panoufle
Page:Le Degré des âges du plaisir, suivi de L’École des filles, 1863, T2.djvu/44
Cette page a été validée par deux contributeurs.
— 38 —