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connues. D’un autre côté, Robinet, tout glorieux des efforts qu’il venait de faire, ravi de se voir logé dans un lieu si étroit et d’avoir surmonté tant de difficultés, l’appelait son cœur, son âme, sa félicité ; enfin il lui prodiguait tous les noms que l’amour peut suggérer ; il remuait les fesses, tantôt lentement, tantôt vivement, et le mouvement de son membre allant et venant dans le corps de Fanchette causait à celle-ci les plus doux frémissements. Il lui demanda si elle sentait du plaisir ; elle lui répondit par des coups de cul réitérés et par de petits bonds involontaires, car elle était d’une ardeur si extraordinaire qu’elle ne pouvait plus y résister. Alors Robinet, la serrant, la poussant de plus en plus, la tenant embrassée par les hanches, s’appuyant sur sa croupe, d’une main lui touchait les mamelles et de l’autre les fesses ou la motte. Le plaisir de la jeune fille augmentant à mesure que son ami remuait et ne pouvant plus se tenir sur ses mains tant elle était aise, elle tomba le nez sur le lit. Enfin Robinet, sentant les approches du souverain plaisir, redoubla ses mouvements et la mit dans une si grande agitation qu’elle ne se connaissait plus ; elle sentit un frissonnement général par tout le